Selon le but de l’exercice (jauger la compréhension ou la mémorisation) et selon votre âge et votre niveau :
• imprimez toute la nouvelle, et référez-vous au texte si nécessaire ; • lisez le texte autant de fois que vous le souhaitez, et répondez strictement de mémoire.
Si le narrateur n’est pas un personnage, cochez la première case ; si le narrateur est un personnage, qui est-il ?
Le narrateur n’est pas un personnage.
Madame Lefèvre.
Rose.
Le puisatier.
La nouvelle s’intitule « Pierrot » : qui est ce Pierrot ?
L’épicier de Rolleville.
Le boulanger qui a offert le chien.
Le chien que les deux femmes ont reçu.
Le jeune apprenti qui sauvera le chien.
Dans quelle région les deux femmes habitent-elles ?
En Auvergne.
En Champagne.
En Lorraine.
En Normandie.
Pourquoi Madame Lefèvre se procure-t-elle un chien ?
Le chien serait une compagnie pour Madame Lefèvre qui sort peu.
Elle accepte garder l’animal pour une amie qui n’en est plus capable.
Des maraudeurs lui ont dérobé une douzaine d’oignons du jardin.
Le texte ne donne pas à en connaître le motif.
Au début du récit figure l’adjectif « parcimonieuse » montrant que la « générosité » de Madame Lefèvre n’est que de façade. À quel adverbe l’épithète renvoie-t-elle ?
Ostensiblement.
Visiblement.
Ouvertement.
Aucun adverbe ne vient en écho à l’adjectif « parcimonieuse ».
Pour quel motif Madame Lefèvre se résout-elle à se débarrasser de l’animal ?
Elle ne souhaite pas en acquitter l’impôt, dont elle ignorait l’existence.
L’animal se montre agressif et dangereux.
La santé de l’animal s’est dégradée et pose problème.
Madame Lefèvre ne songe nullement à se défaire de son chien.
Qui se chargera de jeter l’animal dans la marnière ?
Le puisatier.
Le cantonnier.
Le jeune apprenti.
Madame Lefèvre.
À quel moment de la journée le chien sera-t-il jeté dans la fosse ?
Avant le lever du jour.
Dans la matinée.
Dans l’après-midi.
À la nuit tombante.
Pourquoi Madame Lefèvre se ravise-t-elle et veut-elle soudain récupérer le chien ?
Elle a trouvé un acheteur pour l’animal.
Elle s’inquiète de la réputation que le village se prépare à lui faire.
Elle est la proie de cauchemars récurrents.
Il n’a jamais été question de récupérer l’animal.
Quel indice suggère que le sort de l’animal dans la marnière était funeste même si aucun rival ne venait lui durcir la vie.
L’hiver venu, l’animal mourrait de froid.
Les visites de Madame Lefèvre pour nourrir le chien allaient en s’espaçant.
La marnière serait bientôt inondée et le chien mourrait noyé.
Quand Madame Lefèvre se présente pour nourrir le chien, elle constate qu’il est mort.
Comment le récit s’achève-t-il ?
Le puisatier récupère le chien et lui offre asile.
Quand Madame Lefèvre vient nourrir son chien, elle comprend qu’il est mort.
Le chien réussit à s’échapper et sera recueilli par deux vieilles personnes.
Un autre chien est abandonné et Madame Lefèvre renonce à nourrir les deux animaux.
Cochez toute affirmation exacte, et aucune autre.
Quand elle le reçoit, Madame Lefèvre installe le chien dans un panier d’osier.
Si sa servante Rose ne l’en avait pas dissuadée, Madame Lefèvre aurait conservé le chien.
Pour sortir le chien de la marnière, le puisatier réclame quatre francs.
Rose, la servante, se refuse à jeter l’animal dans la marnière.