Selon le but de l’exercice (jauger la compréhension ou la mémorisation) et selon votre âge et votre niveau :
• imprimez toute la nouvelle, et référez-vous au texte si nécessaire ; • lisez le texte autant de fois que vous le souhaitez, et répondez strictement de mémoire.
Si le narrateur n’est pas un personnage, cochez la première case ; si le narrateur est un personnage, qui est-il ?
Le narrateur n’est pas un personnage.
Un jeune parisien.
Une princesse égyptienne.
L’ami du personnage principal.
Comment le narrateur a-t-il découvert la boutique de curiosités ?
Son ami Alfred lui en a donné l’adresse.
C’est la mère du narrateur qui lui a recommandé ce marchand.
À Paris, les boutiques de ce genre étant alors à la mode, il entre dans la première.
Le narrateur aime ces boutiques et les visite systématiquement.
Combien de paragraphes sont-ils consacrés à la description de la boutique d’antiquités ?
La boutique ne fait l’objet d’aucune description.
Un paragraphe.
Trois paragraphes.
Cinq paragraphes.
Pourquoi le demi-jour filtré par les volets de la boutique est-il qualifié de « prudent » ?
Trop forts, les rayons de soleil altéreraient tissus et boiseries.
Âgé, le commerçant souffre des yeux.
La poussière y est ce qu’il y a de notoirement plus ancien.
Le texte ne mentionne pas ce détail.
À quelle observation amusante l’entrée du narrateur dans la boutique donne-t-elle lieu ?
Très gros, le commerçant ne peut suivre son client par tous les chemins qu’il emprunte.
Le narrateur semble maladroit et le marchand entoure de précautions des articles mis ainsi en évidence.
Le marchand se fait attendre : un client entre et prend le narrateur pour le vendeur.
Le texte ne se veut nullement ironique.
Comment le narrateur caractérise-t-il les yeux du marchand ?
Une coquetterie dans l’œil.
Deux louis d’or sur du vif-argent.
Les yeux en boules de loto.
Les yeux du marchand ne sont pas caractérisés.
Comment le narrateur caractérise-t-il les mains du marchand ?
En serres d’aigle.
Avides et obséquieuses.
Des pinces de homard.
Les mains du marchand ne sont pas caractérisées.
Quel objet le narrateur recherche-t-il ?
Un presse-papiers.
Un paravent.
Une horloge.
Un magot chinois.
Quel air affiche le commerçant quand le narrateur choisit le pied ?
Diligent et empressé.
Distrait et évasif.
Ironique et sournois.
Surpris et décontenancé.
Que fait le narrateur à la tombée de la nuit ?
Rien, sinon qu’il se couche et s’endort.
Il fait une longue promenade, comme chaque soir.
Il lit une bonne heure durant.
Il va dîner avec des amis.
Durant la nuit, pourquoi le narrateur revient-il, non sans ironie, sur le bien-fondé de son acquisition ?
L’objet dégage une odeur peu agréable.
Dans le noir, le pied est phosphorescent.
Le pied s’est déplacé.
Le texte ne précise pas ce détail.
Combien de paragraphes sont-ils consacrés au portrait de la princesse égyptienne ?
Moins d’un paragraphe : un simple trait descriptif.
Un paragraphe entier.
Deux paragraphes.
Quatre ou cinq paragraphes.
Quel motif décore les anneaux que la princesse portait au pied ?
Une idole figurant la reine Isis.
Un scarabée.
Une croix ansée.
Les anneaux de pied ne présentent aucun motif figuratif.
Pour quelle raison le vieux marchand a-t-il mis le pied en vente ?
Furieux d’avoir été éconduit par la princesse, il empêche ainsi son retour au royaume des morts.
Superstitieux, le marchand veut se débarrasser au plus vite de cet encombrant objet.
Le marchand escompte un meilleur profit en vendant la momie au détail.
Le marchand n’a pour seule préoccupation que d’exercer son métier.
Quel cadeau la princesse fait-elle au narrateur en échange de la restitution de son pied ?
La princesse lui offre en retour le charme de son regard reconnaissant.
Un baiser sur le front.
Les anneaux qu’elle portait au pied.
Une petite figurine de pâte verte représentant Isis.
Quelle objection le pharaon oppose-t-il au narrateur quand celui-ci révèle qu’il souhaite épouser sa fille ?
Cet épisode ne figure pas dans le récit.
Pharaon ne peut donner sa fille au commun des mortels.
Trop de siècles séparent le narrateur et la princesse.
L’histoire peut se revivre mais elle ne peut se récrire.
Quel élément fantastique plonge le lecteur dans l’incertitude ?
Le texte ne comporte aucun élément fantastique.
À son réveil, le narrateur retrouve la princesse au royaume des morts mais il se souvient de sa vie parisienne.
Au sortir du rêve où il rend le pied à la princesse, le narrateur découvre la disparition de son presse-papiers.
La figurine laissée par la princesse durant le rêve du narrateur a remplacé le pied au réveil de celui-ci.
Cochez toute affirmation exacte, et aucune autre.
Pour accéder au palais du pharaon, le narrateur et la princesse gravissent un escalier taillé dans la roche.
Pour accompagner la princesse, le narrateur troque sa robe de chambre pour l’habit.
Le pharaon est entouré de tous les trônes et tous les cercles des nations.
Lorsque le narrateur quitte le pharaon et sa fille, l’un et l’autre redeviennent momies.