Selon le but de l’exercice (jauger la compréhension ou la mémorisation) et selon votre âge et votre niveau :
• imprimez toute la nouvelle, et référez-vous au texte si nécessaire ; • lisez le texte autant de fois que vous le souhaitez, et répondez strictement de mémoire.
Si le narrateur n’est pas un personnage, cochez la première case ; si le narrateur est un personnage, qui est-il ?
Le narrateur n’est pas un personnage.
Olga Stormer, alias Nancy Taylor.
Miss Jones.
Margaret Ryan.
Quel vêtement porte l’individu assis au quatrième rang de la salle de théâtre ?
Un costume trois-pièces anthracite.
Un complet-veston râpé.
Un smoking blanc.
Ce détail vestimentaire n’est pas mentionné dans le texte.
Quel est le ton du bref monologue intérieur auquel se livre Jake Levitt quand il reconnaît la Comédienne ?
Familier voire argotique.
Hautain et méprisant.
Inquiet voire affolé.
Jake Levitt ne se livre à aucun monologue intérieur.
Que laisse entendre le billet que Jake Levitt adresse à la Comédienne ?
Il est prêt à la débarrasser d’un fâcheux.
Il est ébloui par son charisme et tombe à ses pieds.
Auteur dramatique, il lui demande son avis sur sa dernière pièce.
Il a bien connu une certaine Nancy Taylor originaire de Chicago.
Quel secret la Comédienne a-t-elle peur de voir rendu public ?
Elle a bien fréquenté l’Université dont elle se réclame mais sans y avoir décroché de diplôme.
Ayant commis, encore adolescente, un meurtre en légitime défense, elle a eu le tort de prendre la fuite.
Elle divulgue des renseignements à un réseau d’agents étrangers à qui elle doit rendre des comptes.
Elle est cleptomane : son imprésario indemnise discrètement les victimes de ses larcins.
Dans l’entourage de la Comédienne, deux hommes sont susceptibles de la tirer d’embarras. Hélas, le premier est intelligent mais trop peu solide et, si le second est solide, il est trop peu subtil. Qui est le premier ?
John Call, un ami de toujours.
Syd Danahan, surnommé Danny, son imprésario.
Fred Taylor, son frère.
Sir Richard, son futur époux.
Dans l’entourage de la Comédienne, deux hommes sont susceptibles de la tirer d’embarras. Hélas, le premier est intelligent mais trop peu solide et, si le second est solide, il est trop peu subtil. Qui est le second ?
John Call, un ami de toujours.
Syd Danahan, surnommé Danny, son imprésario.
Fred Taylor, son frère.
Sir Richard, son futur époux.
Sur quel trait de personnalité de son maître chanteur la Comédienne établit-elle son plan ?
L’homme a peur du feu.
L’homme est alcoolique.
L’homme est lâche.
L’homme est atteint d’une maladie de cœur.
À son arrivée chez O. Stormer, Jake Levitt trouve la porte entrebâillée et entre : quel message lit-il sur la table de la pièce principale ?
Fuyez ! Tout est découvert !
Je vous en supplie, passez votre chemin !
Soyez gentil d’attendre mon retour.
Aucun message n’est laissé en vue.
Que constate bientôt le visiteur ?
La porte d’entrée est brusquement refermée et un tour de clé est donné.
Il n’est pas seul : trois hommes en imperméable le fixent, impassibles.
La Comédienne fait son entrée dans le salon.
Le corps d’une femme gît sous la tenture.
Que pense le visiteur en voyant le corps sans vie étendu sous la tenture ?
Il s’agit du cadavre de la Comédienne, qui aura préféré le suicide au chantage.
Il n’a pas le temps de conjecturer : un homme entre dans la pièce.
Sans réfléchir, affolé, il prend immédiatement la fuite.
Le texte ne mentionne pas la présence d’un corps allongé sur le sol.
Que découvre alors le visiteur ?
La victime a été assassinée, étranglée par le cordon des tentures.
Un second corps est allongé contre la fenêtre.
Une ombre enjambe le balcon et disparaît dans la nuit.
Un coup de feu a touché la tempe de la victime.
Que s’écrie la femme de chambre lorsqu’elle fait irruption dans la pièce ?
Elle hurle et prend la fuite.
— Mon Dieu ! Vous l’avez tuée !
— Au secours ! À l’aide ! À l’assassin !
Pas un mot ! Elle s’évanouit.
Quels sentiments le visiteur lit-il sans peine dans les yeux de la femme de chambre ?
Jamais il ne put saisir le regard de cette femme qui détournait les yeux de lui.
Haine et dégoût.
Intérêt morbide.
Terreur et stupidité.
À ce stade du récit, quelle affirmation correspond aux déductions du visiteur ?
La victime est sans aucun doute la Comédienne.
La Comédienne a tué sa doublure et veut lui faire endosser le meurtre.
La victime est la doublure de la Comédienne mais la femme de chambre n’est autre que la Comédienne.
La mise en scène d’un prétendu meurtre dont il serait inculpé a failli l’abuser mais il a découvert la ruse !
Si le visiteur est tenté de supprimer le témoin, en l’occurrence la femme de chambre, pourquoi y renonce-t-il ?
La Comédienne entre, entourée de plusieurs policiers.
Le temps risque de lui manquer : il préfère prendre la fuite… sur un autre continent.
La femme de chambre s’est emparée la première d’un petit revolver.
Le visiteur est frappé d’une crise cardiaque qui l’emporte.
Expliquez : « Ce sont les mitaines qui ont gagné ! »
Ni les gants (trop de raffinement) ni les poings nus (trop peu de finesse) n’eussent débouté le maître chanteur.
La femme de chambre portait des mitaines pour masquer ses empreintes sur le revolver.
La doublure a tenu un rôle qui lui vaudra de conserver son emploi.
Il n’est pas question de mitaines dans le texte.
Cochez toute affirmation exacte, et aucune autre.
Margaret Ryan, la doublure de la Comédienne, a réellement été assassinée.
La Comédienne informe immédiatement son futur époux du chantage dont elle est l’objet.
La Comédienne comme sa doublure ont des cheveux courts et sans ondulations.
Ce soir-là, la femme de chambre de la Comédienne était allée au cinéma voir « un chef d’œuvre ».