Descriptions de choix

Calme blanc

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   blanchâtre      et qui donnait froid      et se déformaient      finies      grand      inertes      luisante      n’indiquait plus aucune heure      par le bas      plombés      pour présider à ce resplendissement de choses mortes      presque sans contours      qui jouaient sur la mer      ternes      très légers      trouble      vagues      vite effacés   
   Juin
   Autour de l’Islande, il fait cette sorte de temps rare que les matelots appellent le calme blanc ; c’est-à-dire que rien ne bougeait dans l’air, comme si toutes les brises étaient épuisées, .
Le ciel s’était couvert d’un voile , qui s’assombrissait , vers l’horizon, passait aux gris , aux nuances de l’étain. Et là-dessous, les eaux jetaient un éclat pâle, qui fatiguait les yeux .
   Cette fois-là, c’étaient des moires, rien que des moires changeantes  ; des cernes , comme on en ferait en soufflant contre un miroir. Toute l’étendue semblait couverte d’un réseau de dessins qui s’enlaçaient  ; très , très fugitifs.
   Éternel soir ou éternel matin, il était impossible de dire : un soleil qui , restait là toujours, , il n’était lui-même qu’un autre cerne, , agrandi jusqu’à l’immense par un halo .

   Pierre LOTI, Pêcheur d’Islande, Première partie, chapitre 6, 1886