Le dialogue

Entraide  

Michel DAVID, Un bonheur si fragile
Tome 4, Les amours, ch. 20, La Toussaint

Pour rendre au dialogue sa cohérence et sa gradation, déplacez dans le bon ordre les éléments de la colonne droite vers ceux de la colonne gauche.

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— Veux-tu bien me dire ce que tu fais là, Jocelyn ? demanda Corinne à son voisin.
— Je t’apporte un peu de bois, se contenta de dire le célibataire.
— Pourquoi ? demanda-t-elle, comme si elle ne connaissait pas déjà la réponse.
— C’est un peu pour compenser tout le bois que t’as brûlé* pour cuire mon pain cette année, répondit-il.
— Voyons donc ! Tu sais bien que c’est pas nécessaire, protesta-t-elle.
— Je le sais, mais c’est pas mal utile, par exemple, déclara l’homme en jetant les deux dernières bûches* dans la remise.
— Viens prendre une tasse de thé, l’invita-t-elle.
— Je suis pas ben propre, prétexta Jocelyn.
— Ça dérange rien, t’auras juste à ôter tes bottes en entrant, dit-elle avant de retourner à l’intérieur.