Le dialogue

Remède mortel

Harlan COBEN
Roman traduit de l’américain par Cécile ARNAUD, Belfond Noir, 2011 (Chapitre 7)

Pour rendre au dialogue sa cohérence et sa gradation, déplacez dans le bon ordre les éléments de la colonne droite vers ceux de la colonne gauche.

L’auteur, la traductrice ou l’éditeur ont pris le parti d’alléger la typographie : nuls guillemets n’encadrent le dialogue, lequel s’ouvre donc par un tiret cadratin au lieu des traditionnels guillemets ouvrants.

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— Quelqu’un a-t-il utilisé cette chambre depuis le suicide ?
— Eh bien, l’activité a été un peu molle ces derniers temps, donc non, elle est restée vide.
— A-t-elle été nettoyée depuis l’incident ?
— Oui, bien sûr.
— Pouvez-vous me trouver la femme de chambre qui s’en est occupée ?
— Elle est en congé aujourd’hui.
— Quand sera-t-elle là ?
— Demain matin.
— J’aimerais qu’elle m’appelle à son arrivée.
— Bien sûr, inspecteur, mais pourquoi enquêtez-vous maintenant ? Le suicide remonte à plus de quinze jours.
— J’essaie juste de répondre à quelques interrogations restées en suspens.