L’art du portrait

Lourges

Les portraits qui suivent se présentent comme des arbres dépourvus de leur feuillage et de leurs fruits. Le texte est grammaticalement correct mais nombre de « caractérisants » ont été gommés, regroupés dans la fenêtre ci-dessous. Pour « colorer » le texte comme son auteur s’y est essayé, récrivez-les avec votre clavier à la place qui leur convient. Le bouton « Aide » offre une première lettre. Attention ! une faute de frappe et la réponse est incorrecte.

   au regard fixe et dur      carrée, large      déformé par de nombreuses bagarres      de protubérances      des mâchoires      dru      d’un noir trop accentué pour être sincère      énergique      hirsutes      imposante      mais intelligent      moins      noueux et comme rocailleux      petits      que ses cheveux      zinc du   
   Indiscutablement, il était bel homme. Germaine, habituée à juger les mâles comme mâles, d’après leurs possibilités physiques, l’admira. Il avait une carrure impressionnante. Ses cheveux, , étaient plantés sur sa tête solidement affermie sur une encolure massive. Il avait un front bas bosselé et entaillé d’un pli vertical . Ses sourcils, noirs étaient plantés en ligne irrégulière, et, , embroussaillaient ses yeux bleus, . Son nez s’étalait sur sa face , où les pommettes et les muscles formaient d’énormes saillies. Germaine regarda avec étonnement le poing démesuré, qu’il posait, tout en parlant, sur le comptoir.

   Maxence VAN DER MEERSCH, La maison dans la dune