De la belle planète, qu’en a donc fait l’homme ?
Son carbone tend à s’alourdir,
La ne cesse de se rétrécir,
Avec la pollution, comment survit le ?
Trop de nuit, la forêt périclite,
Cessons de et chasser le ,
Que l’abeille encore dans le champ,
Ne pas sans nous fixer une limite.
Et rendons électrique l’énergie ,
Des marées et du vent ; faisons-en notre affaire :
Soyons ou bonjour les dégâts !
Quand on y réfléchit, c’est une triste chose :
La nature lui parle et l’homme n’entend pas,
Notait Victor Hugo, en substance et en prose.
Votre serviteur (01/03/2025)
1 Comme il y a trois ans , votre serviteur n’a pas résisté à la tentation de participer au concours organisé par les Poètes de l’amitié .
Il s’agissait de composer un poème de vingt vers au plus, qui inclût les dix mots de la campagne Dis‑moi dix mots pour la planète et la citation de Victor HUGO :
« C’est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain n’écoute pas. »
(Carnets , 1870)
Sur le thème de la protection de l’environnement, voyez aussi ce poème .