Les rats en effet, qui pullulaient par milliers dans la carcasse de l’éléphant et qui étaient ces taches noires vivantes dont nous avons parlé, avaient été tenus en respect par la flamme de la bougie tant qu’elle avait brillé, mais dès que cette caverne, qui était comme leur cité, avait été rendue à la nuit, sentant là ce que le bon conteur Perrault appelle « de la chair fraîche* », ils s’étaient rués en foule sur la tente de Gavroche, avaient grimpé jusqu’au sommet, et en mordaient les mailles comme s’ils cherchaient à percer cette zinzelière d’un nouveau genre.
Victor HUGO, Les Misérables
pullulaient |
P. S. relative c. du nom « rats » | |||
étaient |
P. S. relative c. du nom « rats » | |||
avons parlé |
P. S. relative c. du nom « taches » | |||
avaient été tenus |
P. indépendante principale | |||
avaient brillé |
P. S. conjonctive c. de temps de « avaient été tenus » | |||
était |
P. S. relative c. du nom « caverne » | |||
avait été rendue |
P. S. conjonctive c. de temps de « s’étaient rués » | |||
s’étaient rués |
P. indépendante principale coordonnée | |||
avait grimpé |
P. indépendante absolue juxtaposée (ellipse du sujet) | |||
mordaient |
P. indépendante principale juxtaposée (ellipse du sujet) | |||
cherchaient |
P. S. conjonctive c. de comparaison de « mordaient » |