Analyse des propositions subordonnées

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1. Les rats en effet, qui pullulaient par milliers dans la carcasse de l’éléphant et qui étaient ces taches noires vivantes dont nous avons parlé, avaient été tenus en respect par la flamme de la bougie tant qu’elle avait brillé, mais dès que cette caverne, qui était comme leur cité, avait été rendue à la nuit, sentant là ce que le bon conteur Perrault appelle « de la chair fraîche* », ils s’étaient rués en foule sur la tente de Gavroche, avaient grimpé jusqu’au sommet, et en mordaient les mailles comme s’ils cherchaient à percer cette zinzelière d’un nouveau genre.
   
   Victor HUGO
   
   Quelles sont les bases indépendantes (absolue et principales) ?

   1.   ?    avaient été tenus en respect, s’étaient rués, mordaient, cherchaient
   2.   ?    avaient été tenus en respect, pullulaient, avaient grimpé, mordaient
   3.   ?    avaient été tenus en respect, s’étaient rués, avaient grimpé, mordaient
   4.   ?    avaient été tenus en respect, étaient, avaient grimpé, mordaient
   5.   ?    avaient été tenus en respect, avaient grimpé, mordaient

2. Les rats en effet, qui pullulaient par milliers dans la carcasse de l’éléphant et qui étaient ces taches noires vivantes dont nous avons parlé, avaient été tenus en respect par la flamme de la bougie tant qu’elle avait brillé, mais dès que cette caverne, qui était comme leur cité, avait été rendue à la nuit, sentant là ce que le bon conteur Perrault appelle « de la chair fraîche* », ils s’étaient rués en foule sur la tente de Gavroche, avaient grimpé jusqu’au sommet, et en mordaient les mailles comme s’ils cherchaient à percer cette zinzelière d’un nouveau genre.
   
   Victor HUGO
   
   Copiez la base de la proposition coordonnée à celle ayant « étaient » pour base.

   
   
   Correction

3. Les rats en effet, qui pullulaient par milliers dans la carcasse de l’éléphant et qui étaient ces taches noires vivantes dont nous avons parlé, avaient été tenus en respect par la flamme de la bougie tant qu’elle avait brillé, mais dès que cette caverne, qui était comme leur cité, avait été rendue à la nuit, sentant là ce que le bon conteur Perrault appelle « de la chair fraîche* », ils s’étaient rués en foule sur la tente de Gavroche, avaient grimpé jusqu’au sommet, et en mordaient les mailles comme s’ils cherchaient à percer cette zinzelière d’un nouveau genre.
   
   Victor HUGO
   
   Quel est l’antécédent de « dont » ?

   
   
   Correction

4. Les rats en effet, qui pullulaient par milliers dans la carcasse de l’éléphant et qui étaient ces taches noires vivantes dont nous avons parlé, avaient été tenus en respect par la flamme de la bougie tant qu’elle avait brillé, mais dès que cette caverne, qui était comme leur cité, avait été rendue à la nuit, sentant là ce que le bon conteur Perrault appelle « de la chair fraîche* », ils s’étaient rués en foule sur la tente de Gavroche, avaient grimpé jusqu’au sommet, et en mordaient les mailles comme s’ils cherchaient à percer cette zinzelière d’un nouveau genre.
   
   Victor HUGO
   
   Quelles sont la nature et la fonction de la proposition dont la base est « avait brillé » ?

   1.   ?    Proposition subordonnée conjonctive c. de conséquence
   2.   ?    Proposition subordonnée conjonctive c. de temps
   3.   ?    Proposition subordonnée conjonctive c. manière
   4.   ?    Proposition subordonnée conjonctive apposé
   5.   ?    Proposition subordonnée relative c. du nom « bougie »

5. Les rats en effet, qui pullulaient par milliers dans la carcasse de l’éléphant et qui étaient ces taches noires vivantes dont nous avons parlé, avaient été tenus en respect par la flamme de la bougie tant qu’elle avait brillé, mais dès que cette caverne, qui était comme leur cité, avait été rendue à la nuit, sentant là ce que le bon conteur Perrault appelle « de la chair fraîche* », ils s’étaient rués en foule sur la tente de Gavroche, avaient grimpé jusqu’au sommet, et en mordaient les mailles comme s’ils cherchaient à percer cette zinzelière d’un nouveau genre.
   
   Victor HUGO
   
   Quelles sont la nature et la fonction de la proposition dont la base est « avait été rendue » ?

   1.   ?    Proposition subordonnée conjonctive c. de conséquence
   2.   ?    Proposition subordonnée conjonctive c. de temps
   3.   ?    Proposition subordonnée conjonctive c. manière
   4.   ?    Proposition subordonnée conjonctive apposé
   5.   ?    Proposition subordonnée relative c. du nom « caverne »

6. Les rats en effet, qui pullulaient par milliers dans la carcasse de l’éléphant et qui étaient ces taches noires vivantes dont nous avons parlé, avaient été tenus en respect par la flamme de la bougie tant qu’elle avait brillé, mais dès que cette caverne, qui était comme leur cité, avait été rendue à la nuit, sentant là ce que le bon conteur Perrault appelle « de la chair fraîche* », ils s’étaient rués en foule sur la tente de Gavroche, avaient grimpé jusqu’au sommet, et en mordaient les mailles comme s’ils cherchaient à percer cette zinzelière d’un nouveau genre.
   
   Victor HUGO
   
   Quel est le statut de « sentant » ?

   1.   ?    La phrase est mal construite : ce mot n’a pas de fonction.
   2.   ?    « sentant » est la base de la proposition participe c. de cause.
   3.   ?    Avec le même sujet que celui de la base « s’étaient rués », le participe ne constitue pas une proposition.

7. Les rats en effet, qui pullulaient par milliers dans la carcasse de l’éléphant et qui étaient ces taches noires vivantes dont nous avons parlé, avaient été tenus en respect par la flamme de la bougie tant qu’elle avait brillé, mais dès que cette caverne, qui était comme leur cité, avait été rendue à la nuit, sentant là ce que le bon conteur Perrault appelle « de la chair fraîche* », ils s’étaient rués en foule sur la tente de Gavroche, avaient grimpé jusqu’au sommet, et en mordaient les mailles comme s’ils cherchaient à percer cette zinzelière d’un nouveau genre.
   
   Victor HUGO
   
   Que remplace le pronom personnel « en » ?

   
   
   Correction

8. Les rats en effet, qui pullulaient par milliers dans la carcasse de l’éléphant et qui étaient ces taches noires vivantes dont nous avons parlé, avaient été tenus en respect par la flamme de la bougie tant qu’elle avait brillé, mais dès que cette caverne, qui était comme leur cité, avait été rendue à la nuit, sentant là ce que le bon conteur Perrault appelle « de la chair fraîche* », ils s’étaient rués en foule sur la tente de Gavroche, avaient grimpé jusqu’au sommet, et en mordaient les mailles comme s’ils cherchaient à percer cette zinzelière d’un nouveau genre.
   
   Victor HUGO
   
   Quelles sont la nature et la fonction de la proposition dont la base est « cherchaient » ?

   1.   ?    Proposition subordonnée conjonctive c. de conséquence
   2.   ?    Proposition subordonnée conjonctive c. de temps
   3.   ?    Proposition subordonnée conjonctive c. comparaison
   4.   ?    Proposition subordonnée conjonctive apposé
   5.   ?    Proposition subordonnée conjonctice c. direct d’objet interrogative indirecte

9. Les rats en effet, qui pullulaient par milliers dans la carcasse de l’éléphant et qui étaient ces taches noires vivantes dont nous avons parlé, avaient été tenus en respect par la flamme de la bougie tant qu’elle avait brillé, mais dès que cette caverne, qui était comme leur cité, avait été rendue à la nuit, sentant là ce que le bon conteur Perrault appelle « de la chair fraîche* », ils s’étaient rués en foule sur la tente de Gavroche, avaient grimpé jusqu’au sommet, et en mordaient les mailles comme s’ils cherchaient à percer cette zinzelière d’un nouveau genre.
   
   Victor HUGO
   
   Quel est le statut de « percer » ?

   1.   ?    La phrase est mal construite : ce mot n’a pas de fonction.
   2.   ?    « percer » est la base de la proposition infinitive c. direct d’objet.
   3.   ?    Avec le même sujet que celui de la base « cherchaient », l’infinitif ne constitue pas une proposition.