Descriptions de choix

Vieil immeuble divisé en studios

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   âcre      aux couleurs plus fraîches*      certaines, même, étaient nues      de cirage      de style italien      et solitaire      gaufré      grande      marron      ouvert      usé et      vitrée   
   Au numéro 49, « Millington Square », se trouvait une façade délabrée, , dont les stucs s’effritaient. Elle n’avait rien de particulier. Il y en avait des centaines du même genre dans cette partie de Londres. L’immeuble était visiblement divisé en studios, car toutes les fenêtres étaient garnies de rideaux différents ; . On y sentait cette promiscuité triste des quartiers surpeuplés. Sous le porche , il ne vit ni interphone ni liste des locataires. Dalgliesh poussa la porte du vestibule et fut assailli par une odeur de cuisine, et de linge sale. L’épais papier mural avait été recouvert d’une couche de peinture qui luisait comme si elle exsudait la graisse et la transpiration. Le sol et les marches des escaliers étaient tapissés d’un linoléum à motifs, plein d’accrocs, que l’on avait cependant rafistolé, aux endroits dangereux, en collant des pièces d’un modèle plus récent . Les murs de la cage d’escalier étaient peints d’un classique vert bouteille. Il ne croisa personne mais, même à cette heure, il devinait une vie grouillante derrière les portes closes, numérotées. L’appartement numéro quatorze se trouvait au dernier étage, au bout du palier.

   Phyllis Dorothy JAMES, Meurtres en blouse blanche, éd. Fayard, 1988, traduction française de Michèle HECHTER