Descriptions de choix

Mogador au tout début de l’été

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   bigarrées      bleutée      comme un joyau      crêté d’écarlate      derniers      des roses et      en couronne      entre les branches      grands      indicible      le panache d’      par instants      radieuse      somptueuses      touffu      verte à miracle   
   Enchâssé dans l’écrin de ses arbres, Mogador arborait sa parure de juin, embaumé de l’haleine du seringat. Les iris dressaient leurs crosses au bord du miroir d’eau, et, déjà, par-delà les plates-bandes de mufliers, d’agérates, d’œillets d’Inde, et de pétunias, le massif de cannas mettait le flamboiement d’un brasier sur la pelouse, , ceinte de ses noisetiers , où un gynérium ajoutait une touffe d’aigrettes.

      L’ombre du cèdre demeurait transparente. La lumière s’y poudrait d’or . La brise d’été, froissant la cime des pins, en tirait cette musique , où se matérialise, , la rumeur de l’éternité.

   Élisabeth BARBIER, Les gens de Mogador, Dominique, Troisième partie, chapitre 4, éd. René Julliard, 1961, éd. Omnibus, 2011