Le dialogue

En coupant par le cimetière

D’après Dean KOONTZ, Les yeux des ténèbres, Quatrième Partie, Vendredi 2 janvier, chapitre 27
Traduit de l’américain par Jacqueline Lenclud, Éditions L’Archipel, 2020      

Pour rendre au dialogue sa cohérence et sa gradation, déplacez dans le bon ordre les éléments de la colonne droite vers ceux de la colonne gauche. La typographie est un indice.

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« Et maintenant ?
— Je vais retourner à pied jusqu’à la maison en coupant par le cimetière. Je ferai le tour du jardin et j’entrerai par derrière.
— Nous entrerons par derrière.
— Non.
— Si.
— Tu m’attendras ici.
— Pas question.
— Sois raisonnable, Tina. S’il y a des complications tu risques d’être en trop.
— Tu ne parles pas sérieusement, Elliot. Tu trouves que je suis le genre de femme qui ne sait pas se débrouiller ?
— Tu as vu l’épaisseur de neige ? Tu n’as même pas de grosses chaussures.
— Toi non plus, je te ferai remarquer.
— Il est tout à fait possible qu’ils soient là à nous guetter et qu’ils nous piègent au salon funéraire.
— À ce moment-là je pourrai t’aider. Et si le champ est libre, je tiens à assister à la conversation avec Bellicosti.
— Bon sang ! Nous perdons un temps précieux à discutailler.
— Ravie de t’avoir convaincu. »