Pour rendre au dialogue sa cohérence et sa gradation, déplacez dans le bon ordre les éléments de la colonne droite vers ceux de la colonne gauche.
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— Bonsoir, ma tante ! dit Charles en apercevant Corinne.
— Bonsoir ! Es-tu rendu que tu sors le soir sans ta femme ? lui demanda-t-elle.
— Non, je viens vous voir de la part de mon père et de ma mère.
— Qu’est-ce qui se passe ?
— C’est grand-père. Il vient de mourir, déclara-t-il sans montrer le moindre signe de chagrin.
— Comment ça ? Il avait l’air ben correct encore dimanche passé à la fête donnée par le curé Cormier.
— On le sait pas, ma tante. Il a voulu donner un coup de main à rentrer les foins. Il conduisait la charrette. Soudain, il en est tombé. Il était mort.
— Voyons donc ! s’exclama Corinne.
— Comme dit mon père, il était plus jeune. Son heure était arrivée. C’est peut-être son cœur qui a lâché.
— En tout cas, t’es bien fin d’être venu nous prévenir, le remercia-t-elle.
Le mari d’Alexandra eut soudainement l’air un peu gêné. — Ma mère aimerait que vous veniez l’aider, ma tante. Elle dit qu’elle sait pas trop quoi faire.
— C’est correct, lui dit-elle. Pendant que tu vas aller annoncer la nouvelle à tes cousins, je vais aller me changer.