Entre l’escalade quotidienne de la tension nerveuse et la
des possibilités de récupération, l’homme ne peut plus tenir
augmentant sans cesse sa
d’énergie nerveuse. La tentation est souvent forte de mobiliser ses réserves par divers moyens :
, tabac, café, médicaments, et d’échapper à la monotonie de
quotidien par la multiplicité des distractions. Mais aucune de
stimulations n’a
roît
* l’efficacité des mécanismes de récupération, elle les affaibl
au contraire.
Ainsi la société moderne place l’homme dans une situation
: d’une part, elle le con
à vivre au maximum de la dépense nerveuse, d’autre part, elle limite ses possibilités de récupération.
Docteur F. F
RISCH,
L’homme fatigué