L’art du portrait

Mary Taylor

Les portraits qui suivent se présentent comme des arbres dépourvus de leur feuillage et de leurs fruits. Le texte est grammaticalement correct mais nombre de « caractérisants » ont été gommés, regroupés dans la fenêtre ci-dessous. Pour « colorer » le texte comme son auteur s’y est essayé, récrivez-les avec votre clavier à la place qui leur convient. Le bouton « Aide » offre une première lettre. Attention ! une faute de frappe et la réponse est incorrecte.

   boutonnée très haut      dégageant son grand front      de gabardine      d’un blond pâle      d’un col et      immense      larges et      nervurées      parfaitement      plus      stricte      tranquille      un   
   La directrice observait silence . Sa robe grise, , s’ornait de poignets blancs. Sa chevelure , presque de la même couleur que sa peau, était coiffée en arrière, , et retenue derrière la tête par un triangle de mousseline qui lui descendait presque jusqu’au creux des reins. Cette simplicité seyait à Mary Taylor. Son visage aux pommettes hautes, aux yeux saillants, qu’irrévérencieusement Miss Beale compara à des groseilles à maquereau , aurait été grotesque sous une coiffure traditionnelle.

   Phyllis Dorothy JAMES, Meurtres en blouse blanche, éd. Fayard, 1988, traduction française de Michèle HECHTER