L’art du portrait

Mme Vernet douairière, née Richard-Lacroix

Les portraits qui suivent se présentent comme des arbres dépourvus de leur feuillage et de leurs fruits. Le texte est grammaticalement correct mais nombre de « caractérisants » ont été gommés, regroupés dans la fenêtre ci-dessous. Pour « colorer » le texte comme son auteur s’y est essayé, récrivez-les avec votre clavier à la place qui leur convient. Le bouton « Aide » offre une première lettre. Attention ! une faute de frappe et la réponse est incorrecte.

   à roues      au Temple          aussi      aux volets presque clos      de soie      et le vieux fond de table de nuit      gavés de sucre      la      où l’attendaient ceux de son siècle      pleine de taches      poudré de blanc      que des pierres      seulement   
   Et la grand’ Richard-Lacroix, tapie dans sa chambre qui sentait le fauve , la grand’, vêtue comme la Reine , avec ses chiens puants , son face à main, ses yeux durs , son nez décharné , sa robe noire , ses mains, couleur de terre , crispées sur les accoudoirs du fauteuil dans lequel elle vivait. La grand’ qui avait dit , en présence de la déplaisante haridelle à son service, le jour même de l’arrivée, lorsqu’Élodie avait introduit sa bru auprès d’elle :
   —   Alors, c’est « ça » ?

   Élisabeth BARBIER, Les gens de Mogador, Julia, Deuxième partie, chapitre 4, éd. René Julliard, 1952, éd. Omnibus, 2011