Emploi des temps et modes

   Tarchinini¹, que les choses se vraiment, en direction de la porte de la cuisine, au moment même où la tante Pia² l’. La vieille demoiselle n’ que le temps de s’écarter pour éviter le choc de Roméo, qui, à toute vitesse, contre le fourneau sur lequel il les mains. Le hurlement qu’il sur le seuil de l’appartement l’inspecteur Zampol, qui depuis cinq minutes à la porte sans se faire entendre. Au mugissement de son supérieur, dont il le timbre, il s’i à entrer d’autorité.
   Plus tard, il que, même s’il plus de cent années, il n’ jamais le spectacle qu’il sous les yeux, ce jour-là, en chez les Dani. D’abord, un costaud qui frappé de folie et un poignard en on ne savait qui. Puis, une jeune fille en larmes, aux jambes du furieux, i de le faire choir, et Alessandro , par la suite, i par l’image du désespoir qu’ cette jeune et ravissante personne que ses larmes n’ pas à enlaidir. Enfin, une vieille femme sur son séant, et qui complètement se de la scène se sous ses yeux. Mais le policier que rien n’ en intensité dramatique l’étrange gymnastique par le commissaire Tarchinini sur place en les bras, comme s’ils des ailerons, tout en de petits cris étranglés. Alessandro ne vraiment certain qu’il ne pas qu’au moment où le furieux, i d’une ruade la jeune fille gémissante, se sur Tarchinini dans l’intention évidente de lui son poignard dans le corps. Zampol son pistolet et le en à pleins poumons :
   — Ferma ! ³

   Charles EXBRAYAT, Le plus beau des bersagliers, Chapitre III, éd. Librairie des Champs-Élysées, 1970

¹ Roméo Tarchinini est commissaire et l’inspecteur Alessandro Zampol, son adjoint.

² Ancienne institutrice qui parfois « bat la campagne », Pia est la tante d’Angelo Dani, le costaud, et de Stella Dani, sa sœur, et vit avec eux.

³ Arrête !