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Si on a autant de surprises qu’à visiter une maison d’apparence quelconque dont l’intérieur est rempli de trésors, de pinces-monseigneur ou de cadavres quand on découvre la vraie vie des autres, l’univers réel sous l’univers apparent, on n’en éprouve pas moins si, au lieu de l’image qu’on s’est faite de soi-même grâce à ce que chacun nous en disait, on apprend, par le langage qu’ils tiennent à notre égard en notre absence, quelle image entièrement différente ils portaient en eux de nous et de notre vie.
Marcel PROUST, À l’ombre des jeunes filles en fleurs
Quelle est la base principale ?
Si on a autant de surprises qu’à visiter une maison d’apparence quelconque dont l’intérieur est rempli de trésors, de pinces-monseigneur ou de cadavres quand on découvre la vraie vie des autres, l’univers réel sous l’univers apparent, on n’en éprouve pas moins si, au lieu de l’image qu’on s’est faite de soi-même grâce à ce que chacun nous en disait, on apprend, par le langage qu’ils tiennent à notre égard en notre absence, quelle image entièrement différente ils portaient en eux de nous et de notre vie.
Marcel PROUST, À l’ombre des jeunes filles en fleurs
Quel est le statut de « visiter » ?
Si on a autant de surprises qu’à visiter une maison d’apparence quelconque dont l’intérieur est rempli de trésors, de pinces-monseigneur ou de cadavres quand on découvre la vraie vie des autres, l’univers réel sous l’univers apparent, on n’en éprouve pas moins si, au lieu de l’image qu’on s’est faite de soi-même grâce à ce que chacun nous en disait, on apprend, par le langage qu’ils tiennent à notre égard en notre absence, quelle image entièrement différente ils portaient en eux de nous et de notre vie.
Marcel PROUST, À l’ombre des jeunes filles en fleurs
Quel est l’antécédent de « dont » ?
Si on a autant de surprises qu’à visiter une maison d’apparence quelconque dont l’intérieur est rempli de trésors, de pinces-monseigneur ou de cadavres quand on découvre la vraie vie des autres, l’univers réel sous l’univers apparent, on n’en éprouve pas moins si, au lieu de l’image qu’on s’est faite de soi-même grâce à ce que chacun nous en disait, on apprend, par le langage qu’ils tiennent à notre égard en notre absence, quelle image entièrement différente ils portaient en eux de nous et de notre vie.
Marcel PROUST, À l’ombre des jeunes filles en fleurs
Quel est le terme opérateur (le mot auquel elle se rapporte) de la base « découvre » ?
Si on a autant de surprises qu’à visiter une maison d’apparence quelconque dont l’intérieur est rempli de trésors, de pinces-monseigneur ou de cadavres quand on découvre la vraie vie des autres, l’univers réel sous l’univers apparent, on n’en éprouve pas moins si, au lieu de l’image qu’on s’est faite de soi-même grâce à ce que chacun nous en disait, on apprend, par le langage qu’ils tiennent à notre égard en notre absence, quelle image entièrement différente ils portaient en eux de nous et de notre vie.
Marcel PROUST, À l’ombre des jeunes filles en fleurs
Quel est l’antécédent du pronom relatif « qu’ » mis en évidence ?
Si on a autant de surprises qu’à visiter une maison d’apparence quelconque dont l’intérieur est rempli de trésors, de pinces-monseigneur ou de cadavres quand on découvre la vraie vie des autres, l’univers réel sous l’univers apparent, on n’en éprouve pas moins si, au lieu de l’image qu’on s’est faite de soi-même grâce à ce que chacun nous en disait, on apprend, par le langage qu’ils tiennent à notre égard en notre absence, quelle image entièrement différente ils portaient en eux de nous et de notre vie.
Marcel PROUST, À l’ombre des jeunes filles en fleurs
Quelle est la nature de « ce que » ?
Si on a autant de surprises qu’à visiter une maison d’apparence quelconque dont l’intérieur est rempli de trésors, de pinces-monseigneur ou de cadavres quand on découvre la vraie vie des autres, l’univers réel sous l’univers apparent, on n’en éprouve pas moins si, au lieu de l’image qu’on s’est faite de soi-même grâce à ce que chacun nous en disait, on apprend, par le langage qu’ils tiennent à notre égard en notre absence, quelle image entièrement différente ils portaient en eux de nous et de notre vie.
Marcel PROUST, À l’ombre des jeunes filles en fleurs
Quel marqueur introduit la proposition ayant « apprend » pour base ?
Si on a autant de surprises qu’à visiter une maison d’apparence quelconque dont l’intérieur est rempli de trésors, de pinces-monseigneur ou de cadavres quand on découvre la vraie vie des autres, l’univers réel sous l’univers apparent, on n’en éprouve pas moins si, au lieu de l’image qu’on s’est faite de soi-même grâce à ce que chacun nous en disait, on apprend, par le langage qu’ils tiennent à notre égard en notre absence, quelle image entièrement différente ils portaient en eux de nous et de notre vie.
Marcel PROUST, À l’ombre des jeunes filles en fleurs
Quel est l’antécédent du pronom relatif « qu’ » mis en évidence ?
Si on a autant de surprises qu’à visiter une maison d’apparence quelconque dont l’intérieur est rempli de trésors, de pinces-monseigneur ou de cadavres quand on découvre la vraie vie des autres, l’univers réel sous l’univers apparent, on n’en éprouve pas moins si, au lieu de l’image qu’on s’est faite de soi-même grâce à ce que chacun nous en disait, on apprend, par le langage qu’ils tiennent à notre égard en notre absence, quelle image entièrement différente ils portaient en eux de nous et de notre vie.
Marcel PROUST, À l’ombre des jeunes filles en fleurs
Quelles sont la nature et la fonction de la proposition ayant « portaient » pour base ?