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À la fin, nous aussi, nous fîmes une relation, malgré mais par ma grand’mère car elle et Mme de Villeparisis tombèrent un matin l’une sur l’autre dans une porte et furent obligées de s’aborder non sans échanger au préalable des gestes de surprise, d’hésitation, exécuter des mouvements de recul, de doute et enfin des protestations de politesse et de joie comme dans certaines scènes de Molière où deux acteurs monologuant depuis longtemps chacun de son coté à quelques pas l’un de l’autre, sont censés ne pas s’être vus encore, et tout à coup s’aperçoivent, n’en peuvent croire leurs yeux, entrecoupent leurs propos, finalement parlent ensemble, le chœur ayant suivi le dialogue, et se jettent dans les bras l’un de l’autre.
Marcel PROUST, À l’ombre des jeunes filles en fleurs
Quel mot représente le point de symétrie de la phrase ?
À la fin, nous aussi, nous fîmes une relation, malgré mais par ma grand’mère car elle et Mme de Villeparisis tombèrent un matin l’une sur l’autre dans une porte et furent obligées de s’aborder non sans échanger au préalable des gestes de surprise, d’hésitation, exécuter des mouvements de recul, de doute et enfin des protestations de politesse et de joie comme dans certaines scènes de Molière où deux acteurs monologuant depuis longtemps chacun de son coté à quelques pas l’un de l’autre, sont censés ne pas s’être vus encore, et tout à coup s’aperçoivent, n’en peuvent croire leurs yeux, entrecoupent leurs propos, finalement parlent ensemble, le chœur ayant suivi le dialogue, et se jettent dans les bras l’un de l’autre.
Marcel PROUST, À l’ombre des jeunes filles en fleurs
À quelle base est coordonnée la base « furent obligées » ?
À la fin, nous aussi, nous fîmes une relation, malgré mais par ma grand’mère car elle et Mme de Villeparisis tombèrent un matin l’une sur l’autre dans une porte et furent obligées de s’aborder non sans échanger au préalable des gestes de surprise, d’hésitation, exécuter des mouvements de recul, de doute et enfin des protestations de politesse et de joie comme dans certaines scènes de Molière où deux acteurs monologuant depuis longtemps chacun de son coté à quelques pas l’un de l’autre, sont censés ne pas s’être vus encore, et tout à coup s’aperçoivent, n’en peuvent croire leurs yeux, entrecoupent leurs propos, finalement parlent ensemble, le chœur ayant suivi le dialogue, et se jettent dans les bras l’un de l’autre.
Marcel PROUST, À l’ombre des jeunes filles en fleurs
Quel est le statut de « s’aborder » ?
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Marcel PROUST, À l’ombre des jeunes filles en fleurs
Quel est le statut de « monologuant » ?
À la fin, nous aussi, nous fîmes une relation, malgré mais par ma grand’mère car elle et Mme de Villeparisis tombèrent un matin l’une sur l’autre dans une porte et furent obligées de s’aborder non sans échanger au préalable des gestes de surprise, d’hésitation, exécuter des mouvements de recul, de doute et enfin des protestations de politesse et de joie comme dans certaines scènes de Molière où deux acteurs monologuant depuis longtemps chacun de son coté à quelques pas l’un de l’autre, sont censés ne pas s’être vus encore, et tout à coup s’aperçoivent, n’en peuvent croire leurs yeux, entrecoupent leurs propos, finalement parlent ensemble, le chœur ayant suivi le dialogue, et se jettent dans les bras l’un de l’autre.
Marcel PROUST, À l’ombre des jeunes filles en fleurs
Quelles sont la nature et la fonction de la proposition ayant pour base « sont censés » ?
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Marcel PROUST, À l’ombre des jeunes filles en fleurs
À quelle base est coordonnée la base « s’aperçoivent » ?
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Marcel PROUST, À l’ombre des jeunes filles en fleurs
Quel est le sujet de « peuvent croire » ?
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Marcel PROUST, À l’ombre des jeunes filles en fleurs
Quel est le statut « ayant suivi » ?
À la fin, nous aussi, nous fîmes une relation, malgré mais par ma grand’mère car elle et Mme de Villeparisis tombèrent un matin l’une sur l’autre dans une porte et furent obligées de s’aborder non sans échanger au préalable des gestes de surprise, d’hésitation, exécuter des mouvements de recul, de doute et enfin des protestations de politesse et de joie comme dans certaines scènes de Molière où deux acteurs monologuant depuis longtemps chacun de son coté à quelques pas l’un de l’autre, sont censés ne pas s’être vus encore, et tout à coup s’aperçoivent, n’en peuvent croire leurs yeux, entrecoupent leurs propos, finalement parlent ensemble, le chœur ayant suivi le dialogue, et se jettent dans les bras l’un de l’autre.
Marcel PROUST, À l’ombre des jeunes filles en fleurs
Le narrateur évoque LA BERMA jouant « Phèdre »
À quelle expression symétrique renvoie « l’un de l’autre » ?