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Mais, Sire, un prince qui n’a cherché sa gloire que dans le bonheur de ses sujets, qui a préféré la paix et la tranquillité qui seule peut les rendre heureux à des victoires qui n’eussent été que pour lui seul, et qui n’auraient abouti qu’à flatter sa vanité ; un prince qui ne s’est regardé que comme l’homme de ses peuples, qui a cru que les trésors les plus précieux étaient les cœurs de ses sujets ; un prince qui par la sagesse de ses lois et de ses exemples, a banni les désordres de son État, corrigé les abus, conservé la bienséance des mœurs publiques, maintenu chacun à sa place, réprimé le luxe et la licence, toujours plus funestes aux empires que les guerres et les calamités les plus tristes, rendu au culte et à la religion de ses pères l’autorité, l’éclat, la majesté, l’uniformité qui en perpétuent le respect parmi les peuples, confirmé le sacré dépôt de la foi contre toutes les entreprises des esprits indociles et inquiets ; qui a regardé ses sujets comme ses enfants, son royaume comme sa famille ; et qui n’a usé de sa puissance que pour la félicité de ceux qui la lui avaient confiée : un prince de ce caractère sera toujours grand, parce qu’il l’est dans le cœur des peuples.1
Jean-Baptiste MASSILLON Petit carême
1 Ce texte est puisé dans le recueil de Michel BERNARDY, Jeu verbal, et publié avec son autorisation.
Quelle est la base principale ?
Mais, Sire, un prince qui n’a cherché sa gloire que dans le bonheur de ses sujets, qui a préféré la paix et la tranquillité qui seule peut les rendre heureux à des victoires qui n’eussent été que pour lui seul, et qui n’auraient abouti qu’à flatter sa vanité ; un prince qui ne s’est regardé que comme l’homme de ses peuples, qui a cru que les trésors les plus précieux étaient les cœurs de ses sujets ; un prince qui par la sagesse de ses lois et de ses exemples, a banni les désordres de son État, corrigé les abus, conservé la bienséance des mœurs publiques, maintenu chacun à sa place, réprimé le luxe et la licence, toujours plus funestes aux empires que les guerres et les calamités les plus tristes, rendu au culte et à la religion de ses pères l’autorité, l’éclat, la majesté, l’uniformité qui en perpétuent le respect parmi les peuples, confirmé le sacré dépôt de la foi contre toutes les entreprises des esprits indociles et inquiets ; qui a regardé ses sujets comme ses enfants, son royaume comme sa famille ; et qui n’a usé de sa puissance que pour la félicité de ceux qui la lui avaient confiée : un prince de ce caractère sera toujours grand, parce qu’il l’est dans le cœur des peuples.
Jean-Baptiste MASSILLON Petit carême
Quelle affirmation à propos de « Sire » est-elle exacte ?
« Sire » est apposé au nom « prince ».
« Sire » est un mot mis en apostrophe.
« Sire » est sujet de la base principale.
Mais, Sire, un prince qui n’a cherché sa gloire que dans le bonheur de ses sujets, qui a préféré la paix et la tranquillité qui seule peut les rendre heureux à des victoires qui n’eussent été que pour lui seul, et qui n’auraient abouti qu’à flatter sa vanité ; un prince qui ne s’est regardé que comme l’homme de ses peuples, qui a cru que les trésors les plus précieux étaient les cœurs de ses sujets ; un prince qui par la sagesse de ses lois et de ses exemples, a banni les désordres de son État, corrigé les abus, conservé la bienséance des mœurs publiques, maintenu chacun à sa place, réprimé le luxe et la licence, toujours plus funestes aux empires que les guerres et les calamités les plus tristes, rendu au culte et à la religion de ses pères l’autorité, l’éclat, la majesté, l’uniformité qui en perpétuent le respect parmi les peuples, confirmé le sacré dépôt de la foi contre toutes les entreprises des esprits indociles et inquiets ; qui a regardé ses sujets comme ses enfants, son royaume comme sa famille ; et qui n’a usé de sa puissance que pour la félicité de ceux qui la lui avaient confiée : un prince de ce caractère sera toujours grand, parce qu’il l’est dans le cœur des peuples.
Jean-Baptiste MASSILLON Petit carême
Quelle est la nature et la fonction de la proposition « qui seule peut les rendre heureux » ?
Proposition subordonnée conjonctive complément direct d’objet de « a préféré »
Proposition subordonnée relative complément direct d’objet de « a préféré »
Proposition subordonnée relative complément des noms « paix et traquillité »
Proposition subordonnée conjonctive complément de manière de « flétrit »
Mais, Sire, un prince qui n’a cherché sa gloire que dans le bonheur de ses sujets, qui a préféré la paix et la tranquillité qui seule peut les rendre heureux à des victoires qui n’eussent été que pour lui seul, et qui n’auraient abouti qu’à flatter sa vanité ; un prince qui ne s’est regardé que comme l’homme de ses peuples, qui a cru que les trésors les plus précieux étaient les cœurs de ses sujets ; un prince qui par la sagesse de ses lois et de ses exemples, a banni les désordres de son État, corrigé les abus, conservé la bienséance des mœurs publiques, maintenu chacun à sa place, réprimé le luxe et la licence, toujours plus funestes aux empires que les guerres et les calamités les plus tristes, rendu au culte et à la religion de ses pères l’autorité, l’éclat, la majesté, l’uniformité qui en perpétuent le respect parmi les peuples, confirmé le sacré dépôt de la foi contre toutes les entreprises des esprits indociles et inquiets ; qui a regardé ses sujets comme ses enfants, son royaume comme sa famille ; et qui n’a usé de sa puissance que pour la félicité de ceux qui la lui avaient confiée : un prince de ce caractère sera toujours grand, parce qu’il l’est dans le cœur des peuples.
Jean-Baptiste MASSILLON Petit carême
Quel est le statut de « flatter » ?
« flatter » est la base de la proposition infinitive complément de conséquence.
Avec pour sujet celui de la base « auraient abouti », il ne constitue pas une proposition.
La phrase est mal construite : ce mot n’a pas de fonction.
Mais, Sire, un prince qui n’a cherché sa gloire que dans le bonheur de ses sujets, qui a préféré la paix et la tranquillité qui seule peut les rendre heureux à des victoires qui n’eussent été que pour lui seul, et qui n’auraient abouti qu’à flatter sa vanité ; un prince qui ne s’est regardé que comme l’homme de ses peuples, qui a cru que les trésors les plus précieux étaient les cœurs de ses sujets ; un prince qui par la sagesse de ses lois et de ses exemples, a banni les désordres de son État, corrigé les abus, conservé la bienséance des mœurs publiques, maintenu chacun à sa place, réprimé le luxe et la licence, toujours plus funestes aux empires que les guerres et les calamités les plus tristes, rendu au culte et à la religion de ses pères l’autorité, l’éclat, la majesté, l’uniformité qui en perpétuent le respect parmi les peuples, confirmé le sacré dépôt de la foi contre toutes les entreprises des esprits indociles et inquiets ; qui a regardé ses sujets comme ses enfants, son royaume comme sa famille ; et qui n’a usé de sa puissance que pour la félicité de ceux qui la lui avaient confiée : un prince de ce caractère sera toujours grand, parce qu’il l’est dans le cœur des peuples.
Jean-Baptiste MASSILLON Petit carême
Quelle est la nature et la fonction de « comme l’homme de ses peuples » ?
Groupe nominal complément de manière de « s’est regardé »
Groupe nominal complément direct d’objet de « s’est regardé »
Groupe nominal attribut du complément direct d’objet « s’ » dans « s’est regardé »
Groupe nominal attribut du sujet de « s’est regardé » : « qui »
Mais, Sire, un prince qui n’a cherché sa gloire que dans le bonheur de ses sujets, qui a préféré la paix et la tranquillité qui seule peut les rendre heureux à des victoires qui n’eussent été que pour lui seul, et qui n’auraient abouti qu’à flatter sa vanité ; un prince qui ne s’est regardé que comme l’homme de ses peuples, qui a cru que les trésors les plus précieux étaient les cœurs de ses sujets ; un prince qui par la sagesse de ses lois et de ses exemples, a banni les désordres de son État, corrigé les abus, conservé la bienséance des mœurs publiques, maintenu chacun à sa place, réprimé le luxe et la licence, toujours plus funestes aux empires que les guerres et les calamités les plus tristes, rendu au culte et à la religion de ses pères l’autorité, l’éclat, la majesté, l’uniformité qui en perpétuent le respect parmi les peuples, confirmé le sacré dépôt de la foi contre toutes les entreprises des esprits indociles et inquiets ; qui a regardé ses sujets comme ses enfants, son royaume comme sa famille ; et qui n’a usé de sa puissance que pour la félicité de ceux qui la lui avaient confiée : un prince de ce caractère sera toujours grand, parce qu’il l’est dans le cœur des peuples.
Jean-Baptiste MASSILLON Petit carême
Quelle est la nature et la fonction de la proposition dont la base est « étaient » ?
Proposition subordonnée conjonctive complément direct d’objet de « a cru »
Proposition subordonnée conjonctive attribut du sujet « qui »
Proposition subordonnée relative complément du nom « homme »
Proposition subordonnée conjonctive complément de comparaison.
Mais, Sire, un prince qui n’a cherché sa gloire que dans le bonheur de ses sujets, qui a préféré la paix et la tranquillité qui seule peut les rendre heureux à des victoires qui n’eussent été que pour lui seul, et qui n’auraient abouti qu’à flatter sa vanité ; un prince qui ne s’est regardé que comme l’homme de ses peuples, qui a cru que les trésors les plus précieux étaient les cœurs de ses sujets ; un prince qui par la sagesse de ses lois et de ses exemples, a banni les désordres de son État, corrigé les abus, conservé la bienséance des mœurs publiques, maintenu chacun à sa place, réprimé le luxe et la licence, toujours plus funestes aux empires que les guerres et les calamités les plus tristes, rendu au culte et à la religion de ses pères l’autorité, l’éclat, la majesté, l’uniformité qui en perpétuent le respect parmi les peuples, confirmé le sacré dépôt de la foi contre toutes les entreprises des esprits indociles et inquiets ; qui a regardé ses sujets comme ses enfants, son royaume comme sa famille ; et qui n’a usé de sa puissance que pour la félicité de ceux qui la lui avaient confiée : un prince de ce caractère sera toujours grand, parce qu’il l’est dans le cœur des peuples.
Jean-Baptiste MASSILLON Petit carême
Que remplace le pronom personnel « en » dans « qui en perpétuent le respect parmi les peuples » ?
le culte et la religion de ses pères
l’autorité, l’éclat, la majesté, l’uniformité
ses pères
le respect
Mais, Sire, un prince qui n’a cherché sa gloire que dans le bonheur de ses sujets, qui a préféré la paix et la tranquillité qui seule peut les rendre heureux à des victoires qui n’eussent été que pour lui seul, et qui n’auraient abouti qu’à flatter sa vanité ; un prince qui ne s’est regardé que comme l’homme de ses peuples, qui a cru que les trésors les plus précieux étaient les cœurs de ses sujets ; un prince qui par la sagesse de ses lois et de ses exemples, a banni les désordres de son État, corrigé les abus, conservé la bienséance des mœurs publiques, maintenu chacun à sa place, réprimé le luxe et la licence, toujours plus funestes aux empires que les guerres et les calamités les plus tristes, rendu au culte et à la religion de ses pères l’autorité, l’éclat, la majesté, l’uniformité qui en perpétuent le respect parmi les peuples, confirmé le sacré dépôt de la foi contre toutes les entreprises des esprits indociles et inquiets ; qui a regardé ses sujets comme ses enfants, son royaume comme sa famille ; et qui n’a usé de sa puissance que pour la félicité de ceux qui la lui avaient confiée : un prince de ce caractère sera toujours grand, parce qu’il l’est dans le cœur des peuples.
Jean-Baptiste MASSILLON Petit carême
Quelle est la nature et la fonction de la proposition dont la base est « avaient confiées » ?
Proposition subordonnée conjonctive complément de but de « a usé »
Proposition subordonnée conjonctive complément de comparaison de « a usé »
Proposition subordonnée relative complément du nom « puissance »
Proposition subordonnée relative complément du nom « félicité »
Mais, Sire, un prince qui n’a cherché sa gloire que dans le bonheur de ses sujets, qui a préféré la paix et la tranquillité qui seule peut les rendre heureux à des victoires qui n’eussent été que pour lui seul, et qui n’auraient abouti qu’à flatter sa vanité ; un prince qui ne s’est regardé que comme l’homme de ses peuples, qui a cru que les trésors les plus précieux étaient les cœurs de ses sujets ; un prince qui par la sagesse de ses lois et de ses exemples, a banni les désordres de son État, corrigé les abus, conservé la bienséance des mœurs publiques, maintenu chacun à sa place, réprimé le luxe et la licence, toujours plus funestes aux empires que les guerres et les calamités les plus tristes, rendu au culte et à la religion de ses pères l’autorité, l’éclat, la majesté, l’uniformité qui en perpétuent le respect parmi les peuples, confirmé le sacré dépôt de la foi contre toutes les entreprises des esprits indociles et inquiets ; qui a regardé ses sujets comme ses enfants, son royaume comme sa famille ; et qui n’a usé de sa puissance que pour la félicité de ceux qui la lui avaient confiée : un prince de ce caractère sera toujours grand, parce qu’il l’est dans le cœur des peuples.
Jean-Baptiste MASSILLON Petit carême
Quelle est la nature et la fonction de la proposition « parce qu’il l’est dans le cœur des peuples » ?
Proposition subordonnée conjonctive complément de cause de « a cherché »
Proposition subordonnée conjonctive complément de cause de « sera »
Proposition subordonnée conjonctive attribut du sujet de « un prince de ce caractère »
Proposition subordonnée conjonctive complément d’opposition de « a cherché »