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Il 1 jouissait, en attendant un autre genre de vie, qu’il ne perdit jamais de vue, de toute la douceur de celle-ci, qu’il eût peut-être regretté dans l’éclat2, après lequel il soupira toujours, et il en jouissait avec une paix si apparente, que, qui n’eût su ce qu’il avait été, et ce qu’il pouvait devenir encore, aucun même de ceux qui l’approchaient avec le plus de familiarité, ne s’en serait jamais aperçu.
SAINT-SIMON, Mémoires
1 L’auteur parle de Fénelon.
2 Au figuré, le terme évoque l’admiration ou l’adhésion que peut connaître un personnage public.
Copiez les bases principales, en les séparant par une virgule.
Il jouissait, en attendant un autre genre de vie, qu’il ne perdit jamais de vue, de toute la douceur de celle-ci, qu’il eût peut-être regretté dans l’éclat, après lequel il soupira toujours, et il en jouissait avec une paix si apparente, que, qui n’eût su ce qu’il avait été, et ce qu’il pouvait devenir encore, aucun même de ceux qui l’approchaient avec le plus de familiarité, ne s’en serait jamais aperçu.
SAINT-SIMON, Mémoires
Quel est le statut de « attendant » ?
Le participe « attendant » est la base de la proposition participe « en attendant un autre genre de vie »
« en attendant un autre genre de vie » est une apposition au pronom « Il »
Le gérondif « en attendant » est complément de manière de « jouissait ».
Il jouissait, en attendant un autre genre de vie, qu’il ne perdit jamais de vue, de toute la douceur de celle-ci, qu’il eût peut-être regretté dans l’éclat, après lequel il soupira toujours, et il en jouissait avec une paix si apparente, que, qui n’eût su ce qu’il avait été, et ce qu’il pouvait devenir encore, aucun même de ceux qui l’approchaient avec le plus de familiarité, ne s’en serait jamais aperçu.
SAINT-SIMON, Mémoires
Quelle est la nature et la fonction du groupe dont « douceur » est le centre ?
Groupe nominal complément direct de « jouissait »
Groupe nominal complément indirect de « jouissait »
Groupe nominal complément de manière de « jouissait »
Groupe nominal complément de manière de « attendant »
Il jouissait, en attendant un autre genre de vie, qu’il ne perdit jamais de vue, de toute la douceur de celle-ci, qu’il eût peut-être regretté dans l’éclat, après lequel il soupira toujours, et il en jouissait avec une paix si apparente, que, qui n’eût su ce qu’il avait été, et ce qu’il pouvait devenir encore, aucun même de ceux qui l’approchaient avec le plus de familiarité, ne s’en serait jamais aperçu.
SAINT-SIMON, Mémoires
Quelle est la nature et la fonction de la proposition dont la base est « eût regretté » ?
Proposition subordonnée relative complément du nom « genre de vie »
Proposition subordonnée conjonctive complément de conséquence de « en attendant »
Proposition subordonnée relative complément du pronom « celle-ci »
Proposition subordonnée relative complément du nom « douceur »
Il jouissait, en attendant un autre genre de vie, qu’il ne perdit jamais de vue, de toute la douceur de celle-ci, qu’il eût peut-être regretté dans l’éclat, après lequel il soupira toujours, et il en jouissait avec une paix si apparente, que, qui n’eût su ce qu’il avait été, et ce qu’il pouvait devenir encore, aucun même de ceux qui l’approchaient avec le plus de familiarité, ne s’en serait jamais aperçu.
SAINT-SIMON, Mémoires
Quelle est la nautre et la fonction de la proposition dont la base est « eût su » ?
Proposition subordonnée conjonctive complément de conséquence de « jouissait »
Proposition subordonnée relative sujet de « se serait aperçu »
Proposition subordonnée interrogative sujet de « se serait aperçu »
Proposition subordonnée relative complément du nom « paix »
Il jouissait, en attendant un autre genre de vie, qu’il ne perdit jamais de vue, de toute la douceur de celle-ci, qu’il eût peut-être regretté dans l’éclat, après lequel il soupira toujours, et il en jouissait avec une paix si apparente, que, qui n’eût su ce qu’il avait été, et ce qu’il pouvait devenir encore, aucun même de ceux qui l’approchaient avec le plus de familiarité, ne s’en serait jamais aperçu.
SAINT-SIMON, Mémoires
Quelle est la nature et la fonction de la proposition « et ce qu’il pouvait devenir » ?
Proposition subordonnée interrogative complément direct d’objet de « eût su »
Proposition subordonnée relative complément direct d’objet de « eût su »
Proposition subordonnée relative attribut du sujet « il » dans « il avait été »
Proposition subordonnée relative complément indirect d’objet de « se serait aperçu »
Il jouissait, en attendant un autre genre de vie, qu’il ne perdit jamais de vue, de toute la douceur de celle-ci, qu’il eût peut-être regretté dans l’éclat, après lequel il soupira toujours, et il en jouissait avec une paix si apparente, que, qui n’eût su ce qu’il avait été, et ce qu’il pouvait devenir encore, aucun même de ceux qui l’approchaient avec le plus de familiarité, ne s’en serait jamais aperçu.
SAINT-SIMON, Mémoires
Quelle est la nature et la fonction de la proposition ayant pour base « approchaient » ?
Proposition subordonnée relative complément du pronom « aucun »
Proposition subordonnée relative sujet de « serait aperçu »
Proposition subordonnée conjonctive complément du pronom « aucun »
Proposition subordonnée conjonctive sujet de « serait aperçu »
Il jouissait, en attendant un autre genre de vie, qu’il ne perdit jamais de vue, de toute la douceur de celle-ci, qu’il eût peut-être regretté dans l’éclat, après lequel il soupira toujours, et il en jouissait avec une paix si apparente, que, qui n’eût su ce qu’il avait été, et ce qu’il pouvait devenir encore, aucun même de ceux qui l’approchaient avec le plus de familiarité, ne s’en serait jamais aperçu.
SAINT-SIMON, Mémoires
Quel est le sujet ou quels sont les sujets de « serait aperçu » ?
« aucun même de ceux qui l’approchaient avec le plus de familiarité »
« qui n’eût su ce qu’il avait été, et ce qu’il pouvait devenir encore »
« Il »
« qui n’eût su ce qu’il … devenir encore » + « aucun même de ceux qui … familiarité »
Il jouissait, en attendant un autre genre de vie, qu’il ne perdit jamais de vue, de toute la douceur de celle-ci, qu’il eût peut-être regretté dans l’éclat, après lequel il soupira toujours, et il en jouissait avec une paix si apparente, que, qui n’eût su ce qu’il avait été, et ce qu’il pouvait devenir encore, aucun même de ceux qui l’approchaient avec le plus de familiarité, ne s’en serait jamais aperçu.
SAINT-SIMON, Mémoires
Quelle est la nature et la fonction de la proposition ayant pour base « serait aperçu » ?
Proposition subordonnée relative complément du nom « paix »
Proposition subordonnée conjonctive complément de conséquence de « jouissait »
Proposition subordonnée conjonctive complément de manière de « jouissait »
Proposition subordonnée conjonctive complément direct d’objet de « eût su »