Commentaires (extraits choisis)

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Votre serviteur & Chr. alias Bérénice ont écrit le 01/01/21 :  
Bonne
année
2021
43
×  47
= 2021
Votre serviteur  —
Deux mille vingt et un* n’est en rien divisible
Par deux, par trois, par quatre, ou par cinq ou par six,
Ni par sept, ni par huit, ni par neuf ni par dix,
Ni par onze ou par douze, on s’y perd, c’est terrible !
Encore indivisible par le nombre treize…
La division par vingt ne donne aucun entier,
Ni par dix-neuf, ni par dix-huit, dit mon boulier, 
Pas plus que par dix-sept, ni que par quinze ou seize !
Bérénice  —
De grâce ! s’il vous plaît* ! laissez la calculette !
Nous n’allons pas passer le premier jour de l’an
Le nez dans les calculs, vous me mettez à cran !
Oubliez la question : adieu la devinette !
Votre serviteur  —
Ne comptez pas sur moi pour lâcher cette affaire :
J’ai tenté vingt et un*, vingt-deux n’a rien donné ;
De vingt-trois à vingt-neuf, je me suis fourvoyé ;
J’aborde trente et plus : il n’y a rien d’autre à faire !
Bérénice  —
Je n’ai nulle intention d’y passer la semaine :
Le nouveau millésime est un nombre premier :
J’en suis à peu près sûre*, laissez donc tomber…
Ma hargne à votre égard sinon se fera haine !
Votre serviteur  —
Je cesse, j’ai trouvé l’assemblage critique :
Quarante-trois multipliant quarante-sept ! 
Mais deux mille dix-sept* et deux mille vingt-sept*
Sont des nombres premiers, je suis catégorique.      
Ensemble  —
Voyez le résultat : nul facteur de discorde
Entre nous : au conflit, nous nous sommes soustraits.
De l’an neuf, puissiez-vous savourer les attraits ;
Profitez des présents que le ciel vous accorde.

 

Chr. alias Bérénice & votre serviteur ont écrit le 33/01/21 :  

Bérénice  —
Comme vous êtes né un trente-trois janvier,
Avez-vous vu le jour à Gans-Sainte-Agathe  ,
À Ixevere, à Etterlecht, à Watergate  
À Foruccle ou Brughem ? Laissez-moi deviner.
Votre serviteur  —
Watergate n’est pas connu dans la région,
Enfin ! ne faites pas l’enfant qui vient de naître* :
Vous êtes du pays, vous devriez le connaître* ;
Là, on ne parle pas de Diton ou Menjon   !
Bérénice  —
J’y pense maintenant ! J’aurai dû me tromper !
Le terme Watergate évoquait autre chose,
Mais inutile ici de faire de la prose…
Allons à l’essentiel : sachons raison garder  .
Votre serviteur  —
À l’impossible, on le sait bien, nul n’est tenu. 
La confusion qui est la vôtre est excusée… 
À propos, dites-moi : où donc êtes-vous née ?
Dans quelque champ de choux ou dans un meilleur cru ?
Bérénice  —
Je naquis à l’instant et là où je vous vis.
Cette révélation, pour votre anniversaire,
Vous est, mon cher, offerte par l’amie sincère
Que je suis : en douter ne vous est pas permis.

 

Votre serviteur a écrit le 01/03/21 :

Ce mois-ci, « Cours toujours » a dû changer d’adresse,
Son serveur historique lui faisant défaut ;
Une révolution d’une pareille espèce
Se vit comme une crise grave – ou peu s’en faut. 

À tous nos invités qui nous rendaient visite
Avec fidélité et depuis très longtemps,
Nous disons regretter la migration subite ;
Nous excuseront-ils pour ce désagrément ?

Le site est préservé, si le fournisseur change ;
Avec une nouvelle adresse, il rebondit ;
Vous habituerez-vous à son infixe étrange ?
Conservez néanmoins « Cours toujours » à l’esprit.

Naviguez sur le site en totale confiance :
Le nouvel hébergeur offre un certificat
Qui correspond parfaitement à l’exigence 
De la Toile actuelle, c’est un postulat.

Nous remercions les sites qui nous font la joie
De nous référencer et nous leur saurions gré
De modifier l’adresse du lien qui renvoie
À « Cours toujours », restant ainsi d’actualité. 

 

Bérénice & votre serviteur ont écrit le 01/04/21 :  

Bérénice  —
La manchette est passée de deux à trois colonnes
Sur tous les « Commentaires » et sur « Bien noté » :
Quelle révolution ! Vous en fîtes des tonnes !
C’est le plus beau bijou que la Toile ait porté !
anguille
Votre serviteur  —
Les flatteries les plus sobres sont les meilleures.
N’en fîtes-vous pas trop ? Que m’avez-vous conté ?
Vos compliments ne sont que fallaces et leurres !
Trop chargée, je le crains, la barque aura coulé !
Je connais vos atouts : vous êtes attentive,
Observatrice aussi, critique en vérité ;
Or, vous faisant caustique, vous êtes naïve :
Depuis trois mois déjà, la manchette a changé.
Bérénice  —
Je le sais, mon ami, mais la chose importante
Est de parler de vous, et je parle de vous,
Je fais parler de vous, je fais que l’on vous vante :
Dussé-je* seulement le faire pour des clous !
Ensemble  —
La course après la rime, ma foi, nous égare !
L’important nous échappe : c’est notre impression ;
L’essentiel nous échappe comme anguille en mare :
On a laissé filer cette année le poisson !

 

Votre serviteur & Chr. alias Bérénice ont écrit le 01/05/21 :  

Votre serviteur  —
Je n’ai guère d’idée : voilà bien le problème !
Bérénice  —
Il me manque les mots : mon souci est extrême !
Votre serviteur  —
Mais je cherche mes mots assurément aussi !
Et comme vous je cherche mes idées, pardi !
Ensemble  —
Que pourrions-nous donc dire ?
Que pourrions-nous écrire ?
Votre serviteur  —
Privés d’inspiration et de vocabulaire,
Nous nous voyons contraints désormais de nous taire !
Dépourvus de lexique et d’inventivité,
Nous l’observons tous deux : là, nous avons calé !
Ensemble  —
Blanche reste la page :
Allons-nous au naufrage ?
Bérénice  —
Mais, rétorquera-t-on, il nous reste le style :
Nous aurions la manière, la façon subtile
De parler longuement tout en ne disant rien,
De ne rien révéler mais de l’écrire bien.
Ensemble  —
Quand on est dans la brume,
Que mettre sous la plume ?
Votre serviteur  —
La meule en rotation affiche sa puissance
Sans lame à affûter*, et le style, je pense,
Donnant du corps et de la grâce à l’énoncé, 
Conserve son essence : il est s’il a été.
Ensemble  —
Il nous reste le style :
Voilà notre mobile !
Bérénice  —
L’évocation du style, j’en étais certaine,
Titillerait chez vous la verve souveraine :
Je n’ai pas tout compris mais vous avez raison ;
Vous m’avez baladée : je rentre à la maison.

 

Votre serviteur a écrit le 01/06/21 :

Nulle inventivité ce matin et puis paf !
Une illumination : je ne suis pas un gniaf   !
J’écris donc, d’une belle main de calligraphe,
Ces vers au bas desquels se lira mon paraphe.
Je le savais : des rimailleurs  , je suis le chef ;
Je trace mon sillon, je cultive mon fief.
Sur le zouave, ma foi, je fais la synalèphe  ,
Car il n’est pas utile qu’un pied je lui greffe.
Quand je reposerai, avant peu, sous un if,
Nul, à me regretter, ne trouvera motif ;
On sous-estimera et mon œuvre et ma griffe :
Dans le trou, aucun risque que je me rebiffe.
Qu’on ne me prenne pas pour un drôle de prof
Que l’on verrait bien comme revenant du lof   !
Qu’on n’imagine pas que je sois de l’étoffe
De ceux que l’on élude à la fin d’une strophe.
Qu’êtes-vous devenu, mon ami Rutebeuf ?
Me suis-je demandé au sortir d’une teuf.
La complainte là cesse : à moins que l’on ne bluffe,
Il n’est aucune rime féminine en -euffe !
Voici venu pour moi le moment de dire ouf.
Ce quatrain ne finit pas sur un piètre plouf !
Laissez-moi ajouter : Que personne ne pouffe !
Qu’un funeste fou rire personne n’étouffe !
Griffe

 

Votre serviteur & Chr. alias Bérénice ont écrit le 01/07/21 :

Votre serviteur  —
C’est l’été maintenant, campons au bord du lac,
La rime est assurée, l’affaire est dans le sac ;
Ne considérez pas l’endroit où l’on bivouaque,
Ce serait m’offenser, comme un affreux cloaque !
Bérénice  —
Quoi que vous en pensiez, je resterai au sec,
Car je n’ai nulle envie d’avoir dans l’eau le bec   ;
Pour clore le quatrain, faut-il que l’on dissèque
Les mots glanés jadis dans la bibliothèque ?
Votre serviteur  —
Dormir l’été au bord d’un lac, voilà le chic ! 
Validons : le bonheur est à portée de clic !
Bibliothèque close, guère de panique :
Emportons les romans achetés en boutique.
Bérénice  —
Nos mets seront frugaux, on boira l’eau du broc ;
Comme vous, je serai solide comme un roc ;
Désormais chaque jour dans une pomme on croque ;
Et l’on vivra d’air pur et de joie réciproque.
Votre serviteur  —
Quelques pieds de l’auteur et voilà le viaduc
Rentrant dans le chapeau car il y a un truc ;
Bâtissons des châteaux de sable, et hop ! on stuque !
Ça réfléchit, et pas qu’un peu ! sous la perruque. 
Bérénice  —
Que viendrait faire ici Maurice de Vlaminck   ?
Est-il l’auteur, fait-il partie du Club des cinq   ? 
Il paraît* improbable que l’on m’en convainque…
Qu’importe ! ce n’est pas en son honneur qu’on trinque !
Ensemble  —
D’aucuns diront : une ode de cette sorte onc  
Ils ne l’achèveront ; ceux-là se trompent donc !
Ce poème n’est pas un poème quelconque :
Il est conçu pour plaire, à eux comme à quiconque.

 

Votre serviteur & Chr. alias Bérénice ont écrit le 01/08/21 :

Votre serviteur  —
« Cours toujours » s’est offert une cure d’été :
Il s’est débarrassé de son étrange infixe ;
Oui : un domaine propre lui est réservé,
Affichant la bannière du belge suffixe.
Bérénice  —
Il était temps que « Cours toujours » se fît un nom 
Et se désencombrât de toute particule !
Que les réseaux sociaux cultivent son renom ;
Que tout antivirus enfin le congratule !  
Votre serviteur  —
Voilà : ouvrons une ère de stabilité ;
Tenons le site loin de toute turbulence ;
Que « Cours toujours » retrouve sa sérénité !
Gardons-nous toutefois de toute somnolence !
Bérénice  —
Le site avait migré en mars au pied levé :
La précipitation est piètre conseillère ;
Vous fîtes d’un souci une opportunité ;
Tout est bien qui finit bien quand on persévère.
Votre serviteur  —
Je dirais : Tout est bien qui recommence bien
Lorsque l’on persévère : bonne route au site,
À ceux qui vers le site ont ajouté un lien,
À tous les internautes lui rendant visite !

 

Votre serviteur & Chr. alias Bérénice ont écrit le 01/09/21 :  

Votre serviteur  —
Pour la rentrée, je suis paré de pied en cap ; 
Ni verre dans le nez ni nez dans le hanap.
Bérénice  —
Point de crainte avec vous que le convoi dérape :
Nous sommes à l’abri de toute chausse-trappe*.
Votre serviteur  —
Ne me demandez pas le rapport entre un cep
De vigne, par exemple, et un bol de julep.
Bérénice  —
Ne me demandez pas si je distingue en Dieppe
Un lien quelconque avec le lac de la Gileppe
Votre serviteur  —
Lançons-nous dans la pub, tournons ensemble un clip,
Osons parler franglais, prenons le leadership.
Bérénice  —
Sont-ce bien vos propos ? Quelque chose en vous grippe !
Ah ! J’y suis ! J’aperçois votre narquoise lippe !
Votre serviteur  —
Ne danserions-nous pas sur un air de be-bop* ?
Si l’on se marche sur les pieds, l’on se dit stop. 
Bérénice  —
Regardez tout ce monde qui soudain galope :
Excellente rentrée ! Et ce n’est pas un trope.
Ensemble  —
Ne croyez pas que nous fassions de la récup
Nous avons perdu toute notion d’heures sup,
Et de toute manière nul ne serait dupe,
Mais du progrès de tous, il est bien qu’on s’occupe.

 

Chr. alias Bérénice, votre serviteur & le chœur ont écrit le 01/10/21 :

Bérénice  —
Quand vous parlez, mon cher, vous parlez clairement ;
Et quand vous écrivez, votre texte est lisible ;
Votre discours limpide est toujours accessible ;
On entend vos propos indiscutablement.
Votre serviteur  —
Je n’écris pas pour camoufler mais pour montrer ; 
J’éloigne le brouillard, je veux la transparence.
Mes textes sont écrits pour leur intelligence
Sans qu’il y ait souci de les interpréter.
Bérénice  —
Oui, mais pas seulement : vos vers sont lumineux :
Ils éclairent l’esprit et rendent l’âme belle ;
De nos pensées, ils donnent une image telle
Qu’on croit pouvoir toucher d’inaccessibles cieux.
Votre serviteur  —
Vous êtes excessive mais c’est bien l’esprit :
Je cherche la clarté, je cherche la lumière ;
Et je cherche surtout à laisser au vestiaire
Tristesse et ignorance, bassesse et conflit.
Le chœur  —
Leur maison est, pour nous, une maison de vers :
Et nous nous y sentons à notre convenance ;
Et nous nous y mirons certes sans réticence ;
Elle a le chœur pour elle et solides les nerfs.

 

Chr. alias Bérénice, votre serviteur & le chœur ont écrit le 01/11/21 :  

Bérénice  —
Où votre vanité va-t-elle se nicher ?
Le téléchargement des livres numériques
Dont vous êtes l’auteur se fait accompagner,
Je n’en crois pas mes yeux ! de compteurs spécifiques.
Votre serviteur  —
Vous n’aurez pas manqué sans doute d’observer
Qu’une demi-seconde – chose surprenante !
Après avoir cliqué, et sans actualiser,
D’une unité, de fait, le compteur s’incrémente.
Dans la foulée, j’ai jugé bon de remplacer 
Le service extérieur dénombrant les visites
Par des compteurs maison que je viens d’installer ;
Je suis curieux d’entendre ce que vous en dites.
Bérénice  —
En pareille matière, je sais apprécier
À leur juste valeur vos progrès magnifiques :
Peut-être un jour, mon cher, saurez-vous programmer,
Me dispensant alors de flatteuses répliques.
Votre serviteur  —
Oh ! le sucré-salé, vous aimez en user ;
Souffler le chaud, souffler le froid : votre technique 
Est éprouvée ; je n’y saurais vous égaler ! 
Qu’importe ! Vous parlâtes bien de ma boutique.
Le chœur  —
N’eussent-ils pas mieux fait, ces deux-là, d’installer
Un compteur recensant leurs démêlés épiques,
Qui pût en temps réel également marquer
Le total respectif de leurs adroites piques ?

 

Votre serviteur a écrit le 01/12/21 :

Vous ne verrez jamais se promener un lad  
En quelque autre poème à côté d’un farad  .
Là, pour la rime, il ne faut pas que je m’évade : 
Je chargerai mes batteries mouillant en rade. 
Je collecte des rimes avec le mot zed  ,
Sans vouloir vous transmettre le bonjour d’Alfred  .
Par bonheur, il se fait que la clé je possède :
Il n’est pas au menu que la question m’obsède.
Dans la boîte* de masques de celluloïd,
En ce moment, je cherche celui du caïd.
La matière est fragile, rien moins que   solide,
Oups ! C’est cassé ! Prenons de la colle rapide !
En haute mer, on n’aperçoit aucun nemrod  
Dans la quille en revanche on trouve bien un yod  .
La météo, sur mon rafiot, n’est pas commode ! 
J’ai pris le large à tort : ce n’est pas la période !
Ne me demandez pas de parler du talmud  
Et je ne vous dirai rien de la Croix du Sud  .
Composer cette pièce est une épreuve rude,
Mauvais motif pourtant à ce que je l’élude.
Question existentielle : est-ce que George Sand
Aurait pu rencontrer Geoffrey de Havilland   ?
George Sand écrivit le roman Flamarande   :
Adalbert et Alphonse aux côtés de Rolande.
Les livres sacrés perses sont écrits en zend   ;
Une région du Pakistan se nomme Sind     ; 
Observez le rapport avec l’Indus et l’Inde…
Mais des Indes de l’Ouest nous arriva la dinde.

 

Votre serviteur & Chr. alias Bérénice ont écrit le 01/01/22 :

Votre serviteur  —
Trouver des mots en -l mouillé est le travail ; 
On dit aussi -l palatal, pour le détail ; 
Ils ne sont pas légion : c’en est une bataille ;
Si je m’en sors, je recevrai une médaille. 
Bérénice  —
J’en glane en deux secondes tout un attirail,
Mon cher, quand vous en faites un épouvantail.
Vous manquez de confiance, c’est là votre faille ;
Vous portez une poutre et oubliez la paille.
Votre serviteur  —
Je goûte* comme il faut goûter* votre conseil 
Et je sais qu’il est vain de faire ombre au soleil.
Vous adorez, ma chère, me tirer l’oreille  :
Pour l’exercice, vous n’avez pas de pareille ! 
Bérénice  —
Il me faut simplement vous sortir du sommeil,
Vous faire ouvrir les yeux, vous aider au réveil.
Ne jetez pas mes instructions à la corbeille ; 
Je sais ce que j’affirme : pas folle l’abeille   !
Votre serviteur  —
Surveillez vos propos car je vous tiens à l’œil !
Je gagne cette manche assis dans un fauteuil :
La rime vient à moi pour que je la recueille ;
Tombée du ciel, elle se pose sur ma feuille. 
Bérénice  —
Au risque, mon ami, d’offenser votre orgueil,
Je les ramasse comme des noix l’écureuil.
La chose m’est aisée, pour peu que je le veuille :
Je ne redoute point que mon esprit s’endeuille.
Ensemble  —
On ne fera enfin qu’évoquer le fenouil
Ainsi que la commune de Nieul-le-Virouil.
Chassant la rime rare, on ne fut pas bredouille
Et, pour vous dire « Bonne année », on se débrouille.   

 

Jean Quigrogne & Jean Quirit ont écrit le 28/01/22 :  
— « Cet artique est très comicle ! », lis-je dans Bien noté : je voyais l’auteur au pinaque, je le devine dans le cloacle !
— La criticle est aisée… mais nous ne cassons pas non plus la baracle !

 

Votre serviteur, Chr. alias Bérénice & le chœur ont écrit le 33/01/22 :    

Votre serviteur  —
Il me semble habiter la planète banale
Et me dissoudre en somme dans le routinier :
M’échappe, je le crains, l’idée originale ;
Un exemple au hasard : le trente-trois janvier.
Bérénice  —
Pour votre anniversaire, aucune inquiétude !
Vous en êtes conscient : je ne le fête pas
À date fixe, il faut sortir de l’habitude ; 
Ce n’est pas un oubli, pas même un embarras.
Votre serviteur  —
C’est bien là qu’est le hic ! C’est bien là la routine :
Mobile, cette fête n’a rien d’imprévu ;
Dans ce cas, je le sais, plus que je le devine,
Vos étourderies ont un air de déjà vu.
Le chœur  —
Toutes leurs controverses nous sont coutumières ;
Chamailleries, prises de bec, altercations : 
Ils nous jouent volontiers ces scènes passagères
Ils aiment les problèmes, fuient les solutions.
Ensemble  —
Ciel ! Voilà que le chœur sur l’échine nous tombe,
Sans crier gare, à l’improviste, abruptement ! 
Tenons-nous en retrait, faisons l’échine ronde
Et célébrons la fête plus discrètement.
Le chœur  —
Leurs réconciliations nous sont très familières :
Ce qu’ils ont fait, ils le feront, rien de nouveau  
Certes de mieux en mieux, ce sont là leurs critères,
Sous le soleil  , toujours, ils haussent le niveau.

 

Votre serviteur a écrit le 01/03/22 :  

« Mignonne, allons voir si la rose » … Non !
Ce mot de passe est – kaï ! – tout sauf le bon !
J’ai tenté « farcer », saperlipopette !
Sans succès hélas ! Je me sens tout bête.

Je n’ai pas la clé, c’est époustouflant !
Le sésame au fait, l’avais-je en sortant ?
Encore essayons le mot « tintamarre » :
Osons espérer que l’ordi démarre !

Au jeu des Poètes de l’Amitié
Sans divulgâcher, oui, j’ai décidé
De participer : il faut que j’imprime
Sur le champ ce texte ou bien je déprime.

« Pince-moi », « ébaubi » ou « décalé »,
L’accès à l’ordi n’a point débloqué.
J’imprime en boutique, incroyable histoire !
Médusé, ma foi, je perds la mémoire.

 

Votre serviteur & Chr. alias Bérénice ont écrit le 01/04/22 :

Votre serviteur  —
J’aime la symphonie Rhénane de Schumann ;
D’Offenbach, je relève les Contes d’Hoffmann ;
Et l’Apprenti sorcier me trotte dans le crâne
Comme une danse hongroise ou le Baron tzigane.
Bérénice  —
Dans un pareil registre, j’apprécie Britten
Mais j’eusse pu citer aussi bien Beethoven ;
De Mozart, je mentionne Bastien et Bastienne,
Composé à douze ans dans la ville de Vienne.
Votre serviteur  —
Je pense à l’opéra de Wagner Lohengrin ;
Dans le siècle suivant, je retiendrai Gershwin ;
Et je n’oublierai pas les russes Borodine,
Stravinsky, Prokofiev, Moussorgski, Scriabine.
Bérénice  —
Le Songe d’une nuit d’été, de Mendelssohn,
Fut-il un jour monté à l’Opéra de Bonn ?
Écrite par Shakespeare, la pièce en Sorbonne
S’étudie. À Oxford aussi, je le soupçonne.
Votre serviteur  —
Dans Aïda, soupçonnez-vous que le simoun 
Ravage Thèbes pour mourir au Cameroun ? 
Qu’il conserve sa voix, le chanteur en guitoune
Pourvu que le campeur conserve sa doudoune !
Bérénice  —
Jouez hara-kiri* devant le grand shogun
En rêve à l’opéra au château de Schönbrunn !
Allez chanter la rotrouenge à Rodogune ! 
Allez jouer de la harpe debout sur Neptune !

 

Jean Intransi & votre serviteur ont écrit le 01/04/22 :  

Jean Intransi  —
En moins de vingt-cinq vers, votre composition
Dévale du sublime au burlesque, mon bon !
Votre serviteur  —
Certes, vous avalâtes d’un coup le poisson !

 

Jean Intransi & votre serviteur ont écrit le 01/05/22 :  

Jean Intransi  —
Vous avez, je le crains, sombré dans le futile :
Rien de profond, rien d’élevé, rien de puissant, 
De l’à-peu-près, de l’anodin, du tout-venant 
Sur un site en déclin, d’allure peu subtile !
Votre serviteur  —
Pour hausser le niveau, votre aide m’est précieuse :
Du captivant, du constructif, du cultivé, 
De la mesure, du bon goût*, du raffiné, 
J’apprécie, sachez-le, votre action généreuse.
Car votre intervention apporte un bien immense
À ce site et à toute la communauté ;
À chacun, elle donne plus d’humanité :
Sans nul doute, vous êtes une référence.
S’il vous vient à l’esprit des remarques précises,
D’utiles suggestions, des conseils judicieux,
Quelque contribution, un texte savoureux,
Vous illuminerez ainsi mes pages grises.
Je reste réceptif au plus infime signe
De collaboration, de participation
Que vous apporterez, et de cette attention
Qui vous caractérise bien, je le souligne.

 

Chr. alias Bérénice & votre serviteur ont écrit le 01/06/22 :

Bérénice  —  En vers impairs je veux vous écrire.
Votre serviteur  —  C’est-à-dire ?
—  Des vers de neuf syllabes j’envoie.
—  Moi de trois !
—  Des ennéasyllabes en somme.
—  C’est tout comme !
—  J’espère ne point vous ennuyer !
—  Quelle idée !
—  Je ne veux troubler votre travail.
—  Point de faille !
—  Dites-moi si mes questions vous lassent.
—  Qu’elles passent !
—  Je n’abuse pas de votre temps ?
—  Nullement !
—  Je me demande à qui vous pensez…
—  À ma fée !
—  C’est ma présence que vous cherchez ?
—  Devinez !
—  Vous aimez être mon complément…
—  Ça se sent ?
—  Je me confie à vous sans détour.
—  Beau discours !
—  Observez qu’ensemble on fait six pieds !
—  Bien compté !

 

Chr. alias Bérénice & votre serviteur ont écrit le 01/07/22 :
Bérénice  —
Génial, le bouclier griffé aux initiales
De « Cours toujours », avec, écrites plus petit 
Vos propres initiales ! Vous avez construit
Un logo à jamais fixé dans les annales !
Votre serviteur  —
Cette figure vectorielle est une idée 
Qui m’est venue comme à l’insu de mon plein gré
Vous n’avez pas tout vu : survolez le tracé,
Une animation vous laissera bouche bée.
Plusieurs antivirus livrent leur témoignage ;
« Cours toujours » garantit votre sécurité
Et maintiendra cet échelon de qualité : 
Tout seul, sans équipier, ici je m’y engage.
Bérénice  —
Ah ! Oui ! J’aime la jauge sous forme de roue  :
En neuf secondes, du rouge, elle vire au vert ! 
Le pourcentage aussi, adresse de l’expert !
Atteint le chiffre cent : un succès, je l’avoue !
C’est du
tout quiz !
Jouer
Votre serviteur  —
Vous aimez ! C’est plié ! Je mets nos vers en ligne.
L’animation vous plaît : quelle bonne nouvelle !
Nulle critique en vue : l’occasion est trop belle !
« Cours toujours » se voit donc décerner son insigne.

 

Chr. alias Bérénice & votre serviteur ont écrit le 01/08/22 :

Bérénice  —
Vos quiz et leur sondage me laissent pantoise :
Votre ingéniosité bientôt les sommets toise !
La main m’épate qui oscille sur le quiz : 
Je vous bombarde ici roi du pédago-biz !
Votre serviteur  —
Je vous trouve, ma foi, cet été, bien frivole
Et par ailleurs thuriféraire bénévole ! 
Je verse dans le vain dès que le temps est chaud ;
Je m’amuse d’un rien ; du grave, peu me chaut !
Bérénice  —
Vous vous discréditez, vous êtes trop modeste :
On vous envie pour vos trouvailles, sans conteste ! 
Vos scrutins désormais font voir le résultat
À l’endroit des questions, sous le même format !
Votre serviteur  —
De ce tour de magie, j’ai découvert le code :
Plus besoin de module externe, c’est commode !
Et c’est d’ailleurs pareil pour le pouce levé :
Vous dites J’aime d’un seul clic, et c’est compté ! 
Bérénice  —
Vous aurez accompli vos devoirs de vacances
Par un chemin original tout en nuances. 
Les loisirs vivifient votre imagination :
Mettez-vous plus souvent à la récréation !

 

Votre serviteur & Chr. alias Bérénice ont écrit le 29/08/22 :

Votre serviteur  —
Que vous soyez inscrit pour un cycle nouveau,
Que vous entrepreniez votre année terminale,
Ou que vous poursuiviez votre route initiale,
Que ce jour de rentrée soit pour vous le plus beau !
Bérénice  —
Que la rentrée soit bonne dans tous les secteurs !
Oui : qu’elle soit scolaire ou bien académique,
Parlementaire aussi, sociale, économique…
Enfin : de la reprise, goûtez* les saveurs !
Votre serviteur  —
L’été prend bientôt fin, rangez la clé des champs,
Que vous retrouverez un jour à grande joie ;
Empruntez le chemin qui pour vous se déploie,
Semé de défis neufs et projets alléchants.
Bérénice  —
Ce retour à l’action élargit l’horizon,
Vous projetant vers de nouvelles expériences ; 
Vous serez confronté à d’autres exigences,
Vos progrès acquerront une autre dimension.
Votre serviteur  —
Vous prendrez connaissance de savoirs nouveaux,
Vous développerez aussi vos compétences,
Et vous verrez bientôt croître* vos performances,
Découvrant le bonheur en de grisants travaux.

 

Chr. alias Bérénice, votre serviteur & le chœur ont écrit le 01/10/22 :  
H T M L
Bérénice  —
Vous voilà donc bien en odeur de cinqueté   
Car vous vous convertîtes, là au pied levé !
Avec la discrétion, disons-le, la plus grande ;
Des valeureux pionniers, vous rejoignez la bande !
Votre serviteur  —
C’est le site, en l’espèce, que j’ai remanié ;
Le code des sommaires fut restructuré :
Les tableaux de naguère font place à des grilles –
Par parenthèse, la rime use de chevilles. 
C S S
Bérénice  —
Même méthode avec les pages Bien noté
Commentaires, Lectures, Nouvelles : bouclé !
Abandon du tableau : une section centrale,
En-tête* et pied de page, liste latérale.
Votre serviteur  —
Les fichiers vectoriels ne sont plus importés :
Ils sont directement à la page intégrés.
La production des sons est aussi simplifiée :
Une simple balise est seule mentionnée.
Ensemble  —
Cela ne change rien, et cela change tout   :
À l’écran, c’est pareil, mais derrière, beaucoup
De modifications ont été apportées ;
D’ailleurs, toutes les pages furent revisées.
Le chœur  —
Nous préférions les voir dressés sur leurs ergots !
Leurs congratulations sont tableaux bien pâlots !
Nous regrettons le temps de leurs joutes fébriles :
Pourquoi leur avoir dit de se tenir tranquilles ?

 

Votre serviteur & Chr. alias Bérénice ont écrit le 01/11/22 :  

Votre serviteur  —
Cinq sept ; cinq huit ; six un ; un, deux, trois, quat’ , cinq, six ;
Six deux ; six trois ; enfin, je vous le donne en dix,
Six fois le chiffre quatre : sombrait-on dans l’ombre ?
Non, on montait par bonds dans le monde du nombre.
Bérénice  —
Il en est comme vous qui avaient essayé
Imitant Pythagore ou Viète, avec fierté :
On les voit désormais couler des jours paisibles
En des centres de soins pour cas irréductibles.
Votre serviteur  —
Néfastes celles-là qui parlent sans savoir,
Qui jugent des couleurs assises dans le noir !
Des chiffres, je retiens la tendre poésie
Et me vois grâce à vous soupçonner de folie !
Bérénice  —
Que me contez-vous là ? Sans vous, je sais compter ;
Comme les choses vont, je puis vous qualifier
De curieux numéro : voilà ce que vous êtes !
Maladroit en somme est le calcul que vous faites.
Votre serviteur  —
Bah ! c’est vous qui voyez : il n’en reste pas moins,
Car sur les i je compte bien mettre les points,
Que le compteur marquait un nombre canonique ;
Ce constat, sachez-le, restera sans réplique.

 

Votre serviteur a écrit le 01/12/22 :

La quête de la rime étrange cause un clash :
L’anglicisme   fatal souvent suivi d’un flash.
Que l’on passe ces vers coupables à la hache !
Consterné, le poète a perdu son panache !
Je dois, c’est une urgence, gagner Marrakech
Et la correspondance pour le Bangladesh.
Attention ! Il importe que je me dépêche :
Je laisse aux écuries mon antique calèche.
Ne pas baisser les bras, ce sera au finish :
Je consentirai même à parler de bakchich.
D’origine modeste, je ne suis pas riche,
Je ne vis pas l’année durant sur la corniche
Adolescent, je confondais Goya et Bosch 
Mais je n’ai pour l’écrire point de Macintosh
Car je ne puis sortir tant d’argent de ma poche,
Quoique je ne sois point encore de la cloche.
Avez-vous une idée de ce qu’est un chaouch ?
Vous ignorez de même ce qu’est le farouch.
Par ces ultimes rimes, à la fin je touche.
« Enfin ! » : voilà le mot qui vous vient à la bouche.
 
 La Région de Bruxelles comprend notamment les communes de Ganshoren, Berchem‑Sainte-Agathe, Ixelles, Evere, Etterbeek, Anderlecht, Forest, Uccle, Auderghem et
la ville de Bruxelles pour citer celles qui entrent dans la composition des noms des communes imaginaires obtenus par permutation des finales respectives ;

quant au suffixe ‑gate (sans h mais que l’on prononcera à la française pour la rime) accolé à la tête de Watermael‑Boitsfort, il ne correspond à aucune commune bruxelloise.  
 Le « scandale du Watergate » est une affaire d’espionnage politique du début des années 70, impliquant l’ancien président des États‑Unis Richard Nixon dont le parti politique avait ses locaux dans l’immeuble du Watergate 
 Du 31 mai 2005, date de sa première mise en ligne,
au 28 février 2021, « Cours toujours » se consultait
à cette adresse :
“users.skynet.be/courstoujours”.

De mars à juin 2021, le site, installé sur un nouvel hébergeur, eut pour adresse (comportant en effet un curieux infixe) :
“courstoujours.go.yj.fr”.

Le 8 juillet 2021, le site obtiendra, auprès du même hébergeur, un domaine propre :
“courstoujours.be”.
 En 1852, Gustave FLAUBERT écrit à sa consœur Louise Collet :
« Ce qui me semble beau, ce que je voudrais faire,
c’est un livre sur rien qui se tiendrait par la force intérieure
de son style. » (Correspondance [2] - Bnf Gallica)

Citation rapportée notamment par :
Fabrice LUCHINI, Préambule à la lecture du conte
« Un cœur simple », dans «  Parole donnée », France Culture, janvier 1996 ;
David FOENKINOS, Numéro deux, Troisième partie, chapitre 25, Gallimard, janvier 2022.
 Gniaf, nom masculin – Au figuré :
Maladroit, gâcheur  , lourdaud, stupide, sans envergure.
 Synalèphe, nom féminin – Terme de grammaire :
Réunion de deux syllabes en une seule soit par synérèse, soit par crase, soit par élision  .
Ainsi le mot « zouave », dont il faut ici prononcer le début : [zwa] en une émission de voix (synérèse) et non pas : [zou‑a] en deux émissions de voix (diérèse) – auquel cas le vers eût compté un pied de trop.
 Revenir du lof – Au figuré :
Modérer ses prétentions, sa colère   ;
mettre de l’eau dans son vin  .
 Le langage informatique emploie le terme « extension »
pour désigner le suffixe à droite d’un nom de domaine
ou de fichier  .

En informatique toujours, le terme « extension » désigne en outre un logiciel utilitaire qui, joint à un logiciel d’application, entre en action pour lui associer de nouvelles fonctions  .
 ce n’est pas un trope  

Expression synonyme de « ce n’est pas une figure de style »,
« ce n’est pas une (simple) façon de parler » ,
et, dans le contexte : « ce n’est pas un souhait convenu ».
 Heures sup :
Abréviation familière de heures supplémentaires.

D’aucuns préfèrent l’abréviation heures supp pour ne point « mélanger les torchons des heures sup et les serviettes de math sup »  .
 Imaginée par votre serviteur pour la rime,
l’expression « pas folle l’abeille » se calque naturellement sur « pas folle la guêpe »  .
 Celles et ceux qui se demandent pourquoi ce poème ne comporte pas de rimes palatales en -ille (comme dans « quille ») observeront que la correspondance masculine -il n’est plus articulée comme telle dans notre langue ; en effet :

•  soit la consonne finale -l est muette, comme dans « fusil », « outil », « sourcil » ;

•  soit le -l est dit liquide, comme dans « avril », « puéril », « viril ».

Au XIXe siècle, on mouillait la fin des mots cil (ciller), babil (babiller) ou péril (périlleux). Ces rimes eussent semblé archaïques dans un poème contemporain.
 sur l’échine nous tombe et faisons l’échine ronde :

le lecteur a reconnu les expressions
« tomber sur le dos de quelqu’un » et « faire le dos rond »  
 Ce qu’ils ont fait, ils le feront, rien de nouveau
(…)
Sous le soleil

Ces passages font référence au « Livre de l’Écclésiaste »  
 En 1550, RONSARD écrit pour Cassandre
« Mignonne, allons voir si la rose »  .

Le concours des Poètes de l’amitié
auquel participait votre serviteur stipulait que
ce vers fût le premier d’une composition de moins de vingt vers
où fussent inclus les dix mots de la campagne
Dis‑moi dix mots qui (d)étonnent.
Ces dix mots figurent en bleu clair.
 Pédago-biz :

Invention lexicale de votre serviteur, calquée sur show-biz, abréviation de show-business.
 En odeur de cinqueté :

Paraphrasant l’expression « en odeur de sainteté »,
nous évoquons bien entendu la conversion des fichiers de « Cours toujours » à la norme HTML5.
 Liste latérale :

Sur un écran d’une résolution inférieure à 900 pixels,
le menu latéral est rétractile :
par défaut, la patte est seule visible ;
au survol, elle dégage le menu.
  Les fichiers sonores de « Cours toujours » sont généralement assujettis à un lecteur muni des commandes usuelles,
comme dans la section Orthographe ;
parfois, ils sont activés par un clic sur l’icône  
ou par son simple survol.

Cependant quelques pages déclenchent un son automatiquement :
Indépendance belge, Fatal error, Vous êtes ici.

Si vous n’entendez rien, assurez-vous que les paramètres de votre navigateur permettent la lecture automatique.
Avec Microsoft Edge, par exemple :
•  ouvrez Paramètres ;
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Ce choix, sachez-le, est réversible.
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