Phœnix a écrit le 12/06/2005 :
Enfin un site qui donne l’envie de s’entraîner avant les examens.
Simone a écrit le 12/06/2005 :
Voilà qui réconcilie mes adolescents avec l’orthographe, et, plus largement l’écriture !
Quant à l’analyse des phrases, ces exercices sont gé-niaux !
Fabrice a écrit le 12/06/2005 :
Hyper sympa ce site ! Tu apprends en lisant ! Tu écris, l’ordi corrige et tu mémorises !
Trop cool !
Yves a écrit le 12/06/2005 :
Je viens de passer quelques heures des plus instructives sur votre site. Je vous en suis très reconnaissant.
Chr. a écrit le 12/06/2005 :
Excellent site, que je recommande tant aux étudiants qu’aux professeurs de langue française. La matière
en est riche et variée.
Danielle a écrit le 13/06/2005 :
Venue sur le site au fil de ma flânerie, je me suis attardée avec enchantement et je n’en suis sortie que pour
rechercher dans mes anciennes lectures les pages choisies par l’auteur, que je salue bien.
Coralie a écrit le 16/06/2005 :
J’apprécie l’absence totale de bannière publicitaire et ce
je‑ne‑sais‑quoi de
quiétude qui m’envahit au fil des pages, que je parcours avec un émerveillement délicat.
Lisa a écrit le 16/06/2005 :
J’adore le fait que ça soit interactif, c’est plus amusant que la plupart des sites !
Beau travail !
Colette a écrit le 29/06/2005 :
Plus d’exercices, oui, mais de cette manière ! Quand le prosaïque et le poétique se donnent la
réplique pour mettre en évidence le pittoresque, que l’analyse grammaticale et l’orthographe éclairent la
pensée pour dégager des horizons insoupçonnés, je renoue avec le
goût* des lettres et
vous envoie ce billet.
Alain Cise a écrit le 01/07/2005 :
Du beau, du bon, du bonheur ! À ta santé, l’intello !
Hugues a écrit le 07/07/05 :
Nul doute que ce bel outil pédagogique sera propre à satisfaire les néophytes
comme les plus chevronnés.
Bérénice a écrit le 07/07/05 :
L’emploi des temps !
Il est bien question de cela ! Et que faites-vous de mon emploi du temps ? Voilà plus de septante-deux
heures (non consécutives, je rassure tout le monde) que je m’atèle (comme le recommande l’orthographe nouvelle)
à la résolution de vos exercices, et voici que vous ajoutez un chapitre ! C’est pas de jeu.
René a écrit le 08/07/05 :
Je ne vous dirai pas que j’ai trouvé en votre site une source d’inspiration et un chemin vers lequel diriger ma
réflexion pédagogique. Pourquoi reconnaîtrais-je que les exercices tels que vous les présentez m’ont
donné des idées de leçons et suggéré des méthodes pour les mener à bien ? Pour le
plaisir de faire une prétérition ? Pfft !
Bérénice a écrit le 09/07/05 :
Du neuf encore ! C’est sur les modes
que vous jetez à présent votre dévolu ! Je ne dîne plus,
je ne sors plus, je ne dors plus : votre production intarissable me verrouille à ma machine.
Soi-disant a écrit le 10/07/05 :
J’hallucine ! Mes sens m’abusent ! Ma raison me faut ! Un étourdissant vertige m’envahit !
Une vague emporte ma conscience ! Le ciel me tombe sur la tête ! Le sol se dérobe sous mes pas ! Depuis
des heures et des semaines, j’épluche vos pages et je n’ai pu épingler aucune erreur !
Marianne & votre serviteur ont écrit le 14/07/05 :
Bérénice a écrit le 16/07/05 :
Du neuf à nouveau sur votre site ! C’est bien de
discours qu’il s’agit maintenant – et direct,
qui plus est ! Hier, vous faites se tromper Marianne, qui prit ses « s » ; aujourd’hui vous
me rompez la cervelle par de nouveaux développements… Quelle tragédie que la mienne !
Ne pourrai-je donc jamais clamer :
« J’ai fait TOUT “Cours toujours” » ?
Jean Intransi & votre serviteur ont écrit le 16/07/05 :
Votre serviteur a écrit le 19/07/05 :
Elle guette le « la » belge et fédéral, me dit-on, cette
barge extraite de son milieu naturel, la voie maritime, et laissée
au sec place Rogier, la proue orientée vers l’Occident. Sur le tracé de l’ancien viaduc, le vaisseau
sans eau défiera, le jour de notre indépendance, la gravité pour
gagner la basilique. J’ignore si le bateau qui ne va plus sur l’eau a des jambes, mais il emportera la capitale
l’espace d’un 21 juillet dans ce monde étrange et familier où des Magritte et des Ghelderode pavoisent
l’imaginaire bruxellois. De l’esprit à l’espace, le songe éclot et essaime et ce rêve en
somme, Marianne, sera le nôtre, et le vôtre si vous êtes des nôtres, après-demain !
Bérénice a écrit le 23/07/05 :
Ce sont maintenant onze chapitres que vous développez sur votre site ! Cher Monsieur, vous êtes en vacances :
je vous interdis d’ajouter à vos travaux une seule page, fût-elle « quelconque » ! Que
« Cours toujours » soit compris comme une leçon et ne devienne point une course !
Votre serviteur a répondu le 26/07/05 :
Bérénice a riposté le 26/07/05 :
Votre serviteur a repris la plume ce 26/07/05 :
Chr. alias Bérénice a écrit le 28/07/05 :
Puisque tu sais que Bérénice, ici, c’est moi (plus de théâtre, du coup),
puis-je te demander, quand tu détèleras
(comme le recommande l’orthographe belge),
de bien vouloir sortir
le chien ?
René a écrit le 29/07/05 :
Je tairai mon opinion sur les cinq ou six derniers commentaires
laissés sur votre site, non pour le plaisir de la
prétérition mais par politesse native.
Votre serviteur a répondu le 29/07/05 :
Ce souci vous honore et vous grandit : je vous recommanderai pour la
peinture des plafonds. Vous insinuez que les derniers commentaires sont
le fruit de mon imagination ; si je suis votre pensée,
vous-même n’existez que dans mon esprit… Ou alors,
votre personnage prétendrait-il à l’existence quand il
en dénierait le droit aux autres ?
Un vertige m’envahit.
Gilles Lustre a écrit le 29/07/05 :
Grand amateur d’images, photos et dessins, et d’animations graphiques, j’eusse pu
éprouver quelque désappointement devant l’amère sobriété,
l’austérité pathétique de votre site. Que du contraire ! Vos pages
m’ont conduit à l’extase d’esthète. Ce degré zéro de
l’ornementation m’a révélé la beauté du mot –
entendez : l’image du mot. Attention ! je n’ai rien lu, absolument
RIEN, simplement vu,
CONTEMPLÉ.
L’alignement des caractères, la blancheur des espaces entre les mots, le
développement des paragraphes sur la virginité de l’écran.
J’ai pleuré. Je suis bête.
Martine a écrit le 01/08/05 :
Votre chapitre consacré aux auteurs et aux œuvres
m’a rappelé quelques bons souvenirs de spectacles applaudis jadis ou naguère ;
une complicité nous lie aussi sans doute dans la lecture commune de romans. Vous évoquez ainsi de
grands textes, singuliers par le style et personnels par la pensée.
Huguette a écrit le 01/08/05 :
Grâce à votre travail, je passe des heures bien
intéressantes ! Je ne connaissais pas toutes les œuvres
que vous soumettez mais je recherche les auteurs ou les titres sur la
Toile et dans mes encyclopédies. Je ne vois pas les heures passer !
Nora a écrit le 02/08/05 :
Rémi Miré a écrit le 06/08/05 :
Flantépoustou, trevo tesi ! Vobra !
Trevo teurservi a répondu le 06/08/05 :
Mentscompli cieuxdéli : cimer coupbeau.
∞≠¤∫µ⌂-µ*∫ a écrit le 07/08/05 :
.□⌠≤µ√∫□√≥¤≈≈µ □≈µ∞∫□ ≠*≈ à ┐□%*≥√
ς é≡≥□≤≈¤≡ ∫°*┌-┐□┌¤ ∫□≠µ¤≈□∫ □⌂ ≠□µ≤≈*√ ,∫≥°*⌡ □⌂ ≠□µ≤≈*√
‡ □≥∞ê’⌠ □⌂ é∫∫□√ ¤ ⌠µ ∞□ ,é⌂*√ □≡¤∫∫□≈ ≠° ∞µ¤∞é µ√□√
Chr. alias Bérénice a écrit le 07/08/05 :
Votre serviteur (démasqué) a répondu le 07/08/05 :
Nancy & votre serviteur ont écrit le 11/08/05 :
Pamphile, le papa & la maman de Pamphile ont écrit le 13/08/05 :
Piet Toresk, votre serviteur & Alain Cise ont écrit le 14/08/05 :
Voltaire & votre serviteur ont écrit le 18/08/05 :
Éva Porée & votre serviteur ont écrit le 19/08/05 :
Perle Minouze & votre serviteur ont écrit le 21/08/05 :
Sévère adjudicatrice de votre gîte, je verrais vous peser une portion dans votre insolence : quelle artère haute de ce bond me vacilleriez-vous d’aboutir pour ma trille qui monte en mélo ?
Démontrez, Vieux Manoir, mes insolations condamnées.
Verte Cabane,
Je vous expédie de votre parage sur mon gîte. Pour étendre à votre portion, je vous surveille le « Beau village », qui peste l’orage de déférence, étourdiment : ce légume étouffera la pinacothèque de votre trille aux marrubes.
Je vous scie, Verte Cabane, de cuire à l’inférence de ma terne éradication.
Juliette a écrit le 24/08/05 :
Je n’avais pas osé vous écrire pour signaler une bizarrerie dans les exercices consacrés aux
« périodes » : certains champs
à compléter se présentaient comme pour y écrire plusieurs lignes et les caractères qu’on
y introduisait étaient ceux d’une autre police. Je n’en voyais pas la raison et j’en étais
perturbée. Je suis heureuse que vous ayez écarté cette anomalie.
Votre serviteur a répondu le 24/08/05 :
En mode « Quiz », le logiciel de mise en page d’exercices présente un champ sur plusieurs
lignes quand la réponse attendue dépasse une quinzaine de caractères. Cette disposition remonte sans doute
à l’époque des écrans de douze pouces. À force d’examiner les lignes du code source,
j’ai trouvé comment contourner ce retour à la ligne intempestif.
Tom & votre serviteur ont écrit le 25/08/05 :
Juliette a écrit le 17/09/05 :
J’ai constaté une meilleure gestion des liens sur votre site : il est maintenant possible, à
partir de n’importe quel exercice, de remonter jusqu’au premier sans avoir visité les pages antérieures.
Auparavant, lorsque je choisissais un exercice, je pouvais aller vers le suivant mais pas vers le précédent :
je devais repasser par le sommaire. Voici une heureuse touche finale.
Votre serviteur a répondu le 17/09/05 :
En effet, Hot Potatoes suppose que les exercices sont entrepris dans l’ordre, à partir du premier :
le lien « Précédent » n’est donc par défaut qu’un retour à
la dernière page visitée. Sur « Cours toujours », la présence de sommaires,
l’index des auteurs et le parcours transversal sous l’onglet « Recherche » rendent la
méthode caduque : il m’a fallu redéfinir les liens arrière, qui renvoient bien à
l’exercice précédent même s’il n’a pas été examiné.
Yves D. a écrit le 21/09/05 :
Je découvre à l’instant « Cours toujours » et je ne peux pas m’empêcher
de vous remercier de manière impulsive… Je suis enseignant moi-même, et belge, mais je vis et travaille
actuellement dans le Canton du Jura en Suisse. Mes collègues jurassiens m’ont signalé votre site et, ce soir,
j’ai un peu la belgitude .
J’ai hâte de parcourir votre création et certainement d’en tirer grand profit…
Votre serviteur a répondu le 21/09/05 :
Votre billet m’est d’autant plus agréable que vous êtes enseignant comme moi. Si vous éprouvez
la nostalgie de vos origines, il m’arrive de rêver aux régions où vous travaillez… Veuillez
transmettre à vos collègues jurassiens mes remerciements pour leur bienveillante attention.
Christiane G. a écrit le 21/09/05 :
Je suis ébahie d’admiration devant votre travail. J’ai
moi-même passé pas mal de temps en août à préparer avec Hot Potatoes une petite centaine
d’exercices pour mes élèves. Je vais leur communiquer l’adresse de votre site.
Votre serviteur a répondu le 21/09/05 :
Certes ce module n’est qu’une présentation réduite de la classe de français : je ne vois pas
comment traiter le volet « rédaction », par exemple. Mais chacun peut aborder ces séquences
à son rythme, et ainsi développer librement ses compétences. Je vous souhaite, à vous et à
vos élèves, une agréable et fructueuse année.
Chr. alias Bérénice a écrit le 09/10/05 :
Je me doutais que vous ne vous en tiendriez pas à onze chapitres et qu’il vous faudrait encore charger la barque :
vous en êtes maintenant au récif – je veux dire au récit qui fait naufrage au
grand large, et dont les bribes nous reviennent éparpillées
sous le rire des mouettes !
Votre serviteur a répondu le 09/10/05 :
Chr. alias Bérénice a écrit le 30/10/05 :
Il était aussi certain que la Terre est ronde que vous puiseriez dans l’entretien télévisé de
Jean D’ORMESSON
inspiration à de nouveaux développements.
Telle la goélette
au sortir du chantier naval, votre créativité ainsi libérée prend le large pour des eaux cristallines, laissant à quai,
et à quia, les frileux qui ne vous peuvent suivre
à tire‑d’aile .
Volez et voguez aux quatre coins du monde, et revenez-moi avec des paniers pleins de mots d’auteurs !
Votre serviteur a répondu le 30/10/05 :
Nora a écrit le 01/11/05 :
Ah ! qu’il est ludique le chapitre des mots d’auteurs ! Tu cliques sur un élément, et
il passe comme tel dans le rectangle du dessus ; cliques-tu sur « ôter »,
l’élément reprend sa place d’origine. Chouette, le puzzle ! Je sens que je vais y passer des heures
et que je ne les verrai pas passer !
Chr. alias Bérénice a écrit le 14/11/05 :
Un, deux, cinq, dix, douze, treize… Je me demandais si vous étiez superstitieux ; j’ai la
réponse : vous ne souhaitez pas clore votre entreprise au treizième chapitre ! Vous en avez donc
entamé un quatorzième ! À compter les moutons,
on sombre bientôt dans le sommeil mais à compter vos chapitres, je ne ferme plus l’œil !
Votre serviteur a répondu le 14/11/05 :
Éva Porée, votre serviteur & Chr. alias Bérénice ont écrit le 15/12/05 :
Jean Quirit & Jean Quigrogne ont écrit le 17/12/05 :
— Comment vous dire mon rire à vous lire ?
— Comment taire mon ire à lire vos commentaires ?
Votre serviteur a répondu le 17/12/05 :
Comment, messires, commenter mes commentaires, sans ire et sans rire ? Vous voulez donc que je vous réponde comment ?
Rien de plus simple : « Comment ».
Jules Toupet de le Brocarder a écrit le 19/12/05 :
Dites-moi : nous sommes bien en 2005 après Jésus‑Christ ? Rassurez-moi : comme celui des tournois,
le temps des rhétoriqueurs est bien révolu ?
Votre serviteur a répondu le 19/12/05 :
Pourquoi vouloir tenir nos étudiants éloignés des rhétoriqueurs
(de France et
de Bruxelles) quand vous-même vous y
référez aisément ? Si les tournois vous semblent d’un autre âge, pourquoi entamez-vous les
joutes ? Vous ne l’ignorez pas : nous vivons l’époque des « technologies de
l’information et de la communication », autrement connues sous l’acronyme
TIC,
et, faites-vous-y, je suis votre contemporain. Je profite donc de votre honorable intervention, et 2006
s’en vient : nous sommes d’accord, pour souhaiter aux internautes et à leur entourage
d’heureuses fêtes du solstice et des lendemains à la mesure de leurs espérances.
Juliette a écrit le 22/12/05 :
Je viens de remarquer la modification que vous avez apportée aux diagrammes
des périodes : les verbes principaux apparaissent en orange et tranchent donc sur le reste du texte.
C’est bien plus clair ainsi !
Votre serviteur a répondu le 22/12/05 :
Cette mise en évidence attire l’attention sur la structure d’une période, développée
selon ces trois modèles : le verbe principal figurant dans la première ou la dernière proposition,
ou en position médiane.
Chr. alias Bérénice & votre serviteur ont écrit le 03/01/06 :
Jean Intransi & votre serviteur ont écrit le 19/01/06 :
Juliette a écrit le 28/01/06 :
Votre page dédiée à la définition de la littérature
montre que vous avez résolu le problème de la variation de l’interligne sur le
Net
quand l’attribut « exposant » est appliqué. Ainsi le texte suivi reste-t-il fluide
même s’il mentionne, par exemple, un siècle sous forme abrégée.
Votre serviteur a répondu le 28/01/06 :
J’opine du bonnet… Soyez remerciée pour votre lecture méticuleuse ! En effet, pour éviter ce décalage inesthétique, la balise encadrant le caractère en exposant doit être définie en tant que style (css) à quatre-vingts pour cent de la taille normale de la police. Une ligne de code source suffit. Elle figure donc sur la page mentionnée. À bon entendeur, salut !
Nancy a écrit le 28/01/06 :
Chouette l’effet du lecteur allant à la rencontre de l’écriture ! Dommage qu’il faille
d’abord cliquer sur « Dernier mot », en page d’accueil, et attendre la lecture
complète du dialogue pour voir l’animation !
Gilles Lustre a écrit le 30/01/06 :
Le précédent commentaire présente comme une trouvaille « l’allégorie de
l’écriture en mouvement » sous le bouton « Dernier mot ».
Or « l’homme de lettres » est né bien avant l’apparition de « Windows » :
le recours aux caractères formant image était, je pense, la seule manière d’égayer l’écran
informatique avec quelque figure, animée ou non !
Votre serviteur a répondu le 30/01/06 :
Ce fut pour moi en effet une agréable surprise de retrouver sur la Toile le « type au graphe »
– si je puis appeler ainsi cet homme de caractère(s) – silhouette familière générée
sous le système « DOS » que les imprimantes matricielles des
années quatre-vingt reproduisaient sur papier perforé kilométrique dans un tintamarre de marteaux‑pilons.
Chr. alias Bérénice & votre serviteur ont écrit le 02/02/06 :
Chr. alias Bérénice & votre serviteur ont écrit le 18/02/06 :
Jean Quigrogne a écrit le 26/02/06 :
Mon passage sur votre site réveilla dans mon esprit des images familières, indéfinissables jusqu’ici.
À présent, je sais : non par leur contenu mais pour leur apparence, vos pages évoquent les
petits‑déjeuners familiaux de mon enfance. Les tons bleu sur bleu, en camaïeu, font de l’écran
une porcelaine de Delft, ou plutôt une faïence de Copenhague.
Jean Quirit a répliqué à son compère le 26/02/06 :
En tenant par le clavier ton téléphone mobile ouvert, mon bon Jean, tu disposeras ainsi d’un merveilleux plateau à fromages
(ou à salaisons). Prends garde de cocher l’option « Travailler hors connexion » de telle sorte
que n’apparaisse jamais le message « Serveur introuvable » : il serait regrettable que tes
hôtes fussent privés du style inimitable d’un serveur maison à la page.
Jean Quidérape a suggéré le 26/02/06 :
Comme « Cours toujours » présente des allures de banquise avant le prochain bouleversement climatique,
pose à plat ton écran, mon bon compère, branche-le sur le site arctique, et fais-en une piste de patinage
artistique pour puces savantes. Ne les confine plus dans l’ordi : aère-les ! Assurément, tu
ramèneras beaucoup de monde à la maison !
Votre serviteur a répondu le 27/02/06 :
Si vous ne disposez pas de « Cours toujours » sous la main, une autre façon de présenter les petits fours est de
photographier votre plateau de service préféré et d’en faire un fond d’écran – pas
besoin de ligne adsl ni de
technologie sans fil : votre téléphone mobile connaîtra aussi (bien) la panne. Dans un litre d’eau bouillante salée,
plongez ensuite, un quart d’heure durant, toutes les lettres de votre clavier, et présentez la chose avec les gants
bêtes au cou.
Luce Ès-Archives a précisé le 28/02/06 :
L’idée n’est pas neuve : pour le service des amuse‑gueule, en guise de chauffe‑plats
d’apparat, l’on avait déjà recouru aux écrans cathodiques, face vers le haut et montés
sur roulettes, censés faire un malheur dans l’heure. La mode de ces pesantes dessertes ne se répandit pas,
notamment car fil d’antenne et câble d’alimentation réduisaient l’ampleur de leur
déplacement dans les salles de bal.
René a tranché le 01/03/06 :
Poli de naissance, élégant par inclination et respectueux par idéal, oserais-je suggérer un conseil aux auteurs des derniers commentaires ? La page des festivités de carnaval s’étant tournée hier, qu’ils s’accordent donc une diète de quelques semaines, propre à la remise en place, je le leur souhaite, de leur plein entendement.
Votre serviteur a répondu le 01/03/06 :
Votre silence, René, est d’argent mais votre parole est d’or ! Combien vous ai-je méjugé
ici même ! D’une admirable chiquenaude, vous mettez un point final à
de misérables extravagances. Votre souci du bien commun vous mène à un altruisme inédit. Votre
sourcilleuse attention au destin de mon site m’émeut, comme me subjugue votre sollicitude compatissante envers ses
visiteurs. Raide est la rampe vers votre ascétique exigence ! – Ceci écrit, mon stentor,
je ne vous donne pas tort !
Diana A. a écrit le 25/03/06 :
Je voulais savoir si vous connaissiez le poème français relativement anthologique et récent qui contient
la locution : « en bras de chemise, en vêtements noirs », que j’avais appris au collège
et qui, je crois, évoquait les conditions du prolétariat. Je le cherche depuis cinq ans et aimerais ne serait-ce que
connaître son auteur, le site où je peux le trouver dans son intégralité, ou éventuellement le
courriel d’un connaisseur qui pourrait m’éclairer.
Votre serviteur a répondu le 25/03/06 :
Je ne connaissais ni le poème ni même le vers que vous citez. Mes premières recherches restent sans résultat.
Sans doute vous-même avez-vous déjà commencé cette enquête. Peut-être le texte n’est-il
pas libre de droits et ne figure-t-il pas sur les pages de la Toile. Dans ce cas, sans le titre ou sans le nom de
l’auteur justement, ou sans le contexte, la recherche dans les ouvrages en bibliothèque devient-elle plus complexe.
Aussi ai-je introduit une demande sur le Forum de
« Études littéraires » et
de « Langue française »
que vous pouvez
consulter en cliquant sur leur lien respectif.
Nancy a écrit le 02/04/06 :
Ah ! la nouvelle voix virtuelle féminine fait la dictée cette fois avec une diction bien plus fluide et mieux articulée que sous l’ancienne version. Moi qui n’écoutais ces lectures que pour m’en moquer, je les découvre sous un jour nouveau et me surprends à les apprécier !
Votre serviteur a répondu le 02/04/06 :
Le serveur qui permet la lecture par robot vocal propose en effet depuis
peu une nouvelle voix féminine de synthèse, bien plus proche des intonations et de la prosodie de la langue
française. Quant à la voix masculine, qui ne présentait pas le même défaut et dont les
enregistrements sont conservés sur « Cours toujours », elle n’est, semble-t-il, plus disponible
actuellement.
Ajout de juin 2018 : Ce serveur a clôturé ses activités depuis.
Chr. alias Bérénice, votre serviteur & le chœur ont écrit le 07/04/06 :
Juliette a écrit le 23/04/06 :
Nouvelle curiosité sur votre site ! La traduction et la définition de n’importe quel mot sur lequel
je double-clique apparaît dans un encadré. La langue cible par défaut est l’anglais mais une liste déroulante permet de choisir parmi vingt-six langues.
Un menu par boutons affiche synonymes, dérivés et locutions. Comment donc vous y êtes-vous pris ?
Votre serviteur a répondu le 23/04/06 :
Je n’y suis pas pour grand-chose ! Il suffisait d’insérer une ligne de code dans
l’en-tête de chaque page où la fonction est souhaitée, c’est-à-dire dans
tout « Cours toujours » sauf les index et sommaires. Le reste dépend du
site offrant ce service. L’inventeur de ce logiciel aussi
évolué que simple et rapide à l’emploi
est Dominique DUTOIT,
chercheur au CNRS.
Ajout de mars 2021 :
• Devenu obsolète depuis la mise en place des certificats de sécurité, le dictionnaire hypertextuel Alexandria a été supprimé.
• Les utilisateurs de Microsoft Edge cliqueront deux fois sur le mot à définir pour le sélectionner, ouvriront d’un clic‑droit le menu contextuel et valideront Rechercher dans la barre latérale : les définitions y apparaîtront.
• Les utilisateurs de Firefox s’intéresseront peut-être à l’extension Dictionnaire mots français.
Chr. alias Bérénice, votre serviteur & le chœur ont écrit le 25/04/06 :
Jean Intransi & votre serviteur ont écrit le 01/05/06 :
Valérie a écrit le 07/05/06 :
Il ne faut pas confondre Zénobie, reine de Palmyre,
avec Palmira, reine de Perse !
Votre serviteur a répondu le 07/05/06 :
Je ne vois pas, Nathalie, pourquoi vous m’adressez ce message ! Penseriez-vous donc que je pusse prendre une
mouche dans la salle de bain pour une douche dans la salle de bal ? Où avez-vous la tête,
Stéphanie ?
Gilles Lustre a écrit le 19/05/06 :
Attention ! vous glissez dans la fantaisie : eu égard à la constance de votre classicisme, l’ajout sur vos index et
sommaires d’une barre de navigation de couleur et la mise en place du logo « Cours toujours » en arrière-plan des
exercices, prennent des allures de révolution. Demain, verra-t-on ici fleurir pâquerettes et petits ponts de bois ?
Votre serviteur a répondu le 19/05/06 :
Ce 31 mai 2006, « Cours toujours » fête sa première année d’existence : il me fallait marquer cet
anniversaire d’une pierre blanche. Votre observation sera le caillou dans ma chaussure : peu m’en chaut ! je courrai
nu-pieds – mais point comme Empédocle me jeter dans l’Etna… Sans fausse témérité
donc, je convie mes visiteurs, s’ils le souhaitent, à exprimer leur opinion sur le récent toilettage du site.
Domini.ue a écrit le 10/06/06 :
Comme je suis en session d’examens, je ne vous écris pas, en tout cas pas sur papier, activité trop astreignante, mais je vous envoie ce message par courriel, bien plus rapide comme tout le monde le dit. Hélas ! je vais devoir cesser car une touche ne fonctionne plus et je ne suis plus en mesure de « communi.uer ». Je vous adresse cependant un grand bonjour.
Votre serviteur a répondu le 10/06/06 :
Ton courriel montre combien le stress des examens pèse déjà (ou encore) sur toi. J’espère que cette parenthèse
par laquelle tu me salues te changera les idées et te rendra tous tes moyens. Pourquoi n’avoir pas changé de catégorie
grammaticale en recourant au nom « communication » ? tu pouvais alors continuer la rédaction de ton message.
Georges Perec a écrit un roman entier, « La Disparition »
(justement), sans utiliser le « e ». J’ignore s’il utilisait une vieille
Underwood sans e ni électricité
mais je te remercie de m’avoir écrit et te salue moi aussi.
Ajout du 08/06/2018 : Pour ses treize ans, Cours toujours a changé de caractère, voyez l’info.
Chr. alias Bérénice & votre serviteur ont écrit le 18/06/06 :
Jean Intransi & votre serviteur ont écrit 27/06/06 :
Jean Intransi & votre serviteur ont écrit 16/07/06 :
Hilde Élire et votre serviteur ont écrit 12/08/06 :
Alain Cognito et votre serviteur ont écrit le 16/09/06 :
Jean Intransi a écrit le 30/09/06 :
J’ai installé la nouvelle version du navigateur Windows, Interner Explorer 7 : c’est une catastrophe !
Votre site met en évidence des bizarreries que la version précédente ne causait pas. Des exemples ? Le trait d’union insécable
perturbe l’interlignage comme si le caractère était plus haut que les autres, la taille de la police sur les pages d’exercices n’est
pas la même que sur les autres, les cadres des questionnaires à appariement ne sont pas tous alignés… J’endêve !
Votre serviteur a répondu le 30/09/06 :
Et moi donc ! Vous pouviez ajouter que le trait d’union insécable apparaît comme un tiret. J’ai posté deux commentaires
sur le site « Windows Connect » :
noyés dans l’océan ! J’ai prévenu « Hot Potatoes »
par courriel : une réponse m’a été adressée mais pas la solution. Certes la version actuelle du navigateur est encore expérimentale,
espérons que ces aberrations seront corrigées ou que les programmeurs, dont je ne suis pas, trouveront la parade.
Chr. alias Bérénice & votre serviteur ont écrit le 25/10/06 :
Nora a écrit le 15/11/06 :
Chic ! des mots croisés : merci à vous !
Votre serviteur a répondu le 15/11/06 :
Puisse votre enthousiasme essaimer !
Chr. alias Bérénice & votre serviteur ont écrit le 25/11/06 :
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underwood
Marque de machine à écrire.
Georges Perec, qui aimait les machines à écrire, posséda à ses débuts une Underwood, sur laquelle il tapa ses premiers tapuscrits.
On trouve une vieille Underwood dans les caves du 11, rue Simon-Crubellier.
Note de M. BACKELJAU du 09/01/2010 :
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