La page Dernier mot apparut sans tarder sur « Cours toujours ». La question de savoir si le site « comportait des images » y était retounée à celle qui la posait : qu’elle allât parcourir le site et qu’elle vérifiât de ses propres yeux ! Plus d’une décennie a passé, un état des lieux peut être dressé sans crainte du nez dans le guidon.
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Si par « image », il faut entendre « document photographique », plus précisément tout fichier de type jpg ou png, « Cours toujours » n’en compte pas beaucoup.
Vous en verrez quelques-unes, de petit format, sur l’un ou l’autre billet de Bien noté :
Encore sur Bien noté, ces images ne se révèlent qu’au survol des liens pertinents :
Sur les trente-six plages qu’il comporte,
Dans la section L’art du portrait :Ajout récent
Vous verrez en outre des images dans un format plus généreux, apparaissant dans une fenêtre modale :
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En revanche, le nombre de figures vectorielles n’a cessé de croître* : ces fichiers svg ou html enrichi de css3 se sont d’une part substitués aux images qui s’y prêtaient ; de nouvelles compositions sont apparues d’autre part.
Comme pour certaines images, certaines figures ne sont accessibles qu’au survol du lien :
Ces fac-similés* de copies d’écran ou de photographies dont la qualité de résolution est parfaite apparaissent dans une fenêtre modale :
Les figures suivantes sont animées, soit au survol du lien ou lors du clic sur le lien, soit sans interaction :
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Il existe trois figures saisonnières visibles seulement quelques jours sur la page d’accueil de « Cours toujours », mais qui s’affichent ici d’un clic sur leur titre :
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Enfin, une douzaine d’illustrations hybrides assurent une parfaite lisibilité : un fichier svg importe une image photographique débarrassée du texte un peu flou qu’elle comprenait et reproduit ce texte en tant que tel si la police réside sur « Cours toujours », ou le convertit en tracé vectoriel dans le cas contraire.
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Le site comporte donc près de cent trente* images et autour de deux cents* figures : cette page donne à voir qu’elles sont un peu plus nombreuses que la première impression que l’on pourrait en avoir, mais que l’on ne parlera ni de profusion ni de pléthore.